Prédications TPSG

Les vœux d'un serviteur (Colossiens 2.1-7)

Prédication

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Publié le

12 juil. 2023

Découvre cette huitième prédication de notre série sur l’épître aux Colossiens. Clique ici pour accéder directement au sommaire de cette série.

La plupart des blogueurs TPSG sont également pasteurs. Aujourd’hui, tu peux toi aussi bénéficier de leurs enseignements grâce à notre podcast Prédications TPSG. Ces prédications, qui se veulent résolument textuelles et christocentriques, te feront redécouvrir le sens profond des Écritures et nourriront ta foi en Christ.


Introduction

Avez-vous récemment consulté le testament du cardinal de Richelieu? Ce ministre très puissant du roi Louis XIII, qui n'aimait pas les protestants, a laissé 1,5 million de Livres à son roi; une somme considérable. Tout au long de sa vie, il a amassé pouvoirs et richesses. Quand il est passé de vie à trépas, il a regardé autour de lui tout ce qu'il avait accumulé et il a dit: “Dire qu'il faut laisser tout ça!” Voilà un homme qui n'avait pas compris ce qu'est l'Évangile et qui n'avait pas le sens des priorités. Le contraste est frappant: voilà un homme d'Église, reconnu comme tel, dont la priorité a été l'argent, le pouvoir, et qui à la fin de sa vie, voulait encore s'y agripper.

Le vœu que nous avons ce matin vient de l'apôtre Paul, qui lui, avait le sens des priorités vis-à-vis des chrétiens.

Lecture: Colossiens 2.1-7

Le vœu d’une vie de connaissance de Christ

1Je veux, en effet, que vous sachiez quel grand combat je soutiens pour vous, pour ceux de Laodicée et pour tous ceux qui n’ont pas vu mon visage, 2afin que leur cœur soit consolé, qu’ils soient unis dans l’amour et enrichis d’une pleine certitude de l’intelligence, pour connaître le mystère de Dieu, Christ, 3en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance.

Colossiens2.1-3

Paul est motivé par une chose essentielle: la plénitude de Christ dans la vie de tous les disciples de Christ. Même ceux qu’il n’a jamais vus. En effet, on pense que c’est Épaphras qui a quitté Éphèse où Paul enseignait chaque jour pour aller parler de Jésus dans toute cette région:

D’après les instructions que vous avez reçues d’Épaphras notre bien-aimé compagnon de service; il est pour vous un fidèle ministre du Christ.

Colossiens1.7

C’est lui qui manifeste encore un zèle particulier à leur égard: "Épaphras, votre compatriote, vous salue: serviteur du Christ-Jésus, il ne cesse de combattre pour vous dans ses prières, afin que, parfaits et pleinement convaincus de la volonté de Dieu, vous teniez ferme.

Colossiens4.12

Malgré cela, alors qu’il est prison et qu’il a déjà la charge d'encourager les Églises qu’il a lui-même fondées, Paul mène un combat pour tous les bien-aimés. Ceux de la ville voisine de Laodicée (15 km), et tous ceux qui ne le connaissent que de nom.

Le mot "combat" désigne la lutte de l’athlète qui lutte pour sa couronne. Elle devient emblématique de la persévérance fatigante de la vie chrétienne confrontée à l’épreuve (Hé 12.1). Elle est celle qui nous oppose aux forces démoniaques qui veulent renverser les chrétiens (Ép 6.12). Pour Paul et ses collaborateurs, le ministère n’est rien d’autre qu’une course difficile qu’il faut mener jusqu’au bout. Le ministère n’est pas un travail pour dilettante! Il y a de l’intensité dans le ministère de Paul.

Cette intensité n’est pas dirigée sur un programme d’Église, ni sur une organisation, ni sur un projet d’évangélisation, ni sur une activité pique-nique, ni sur un programme de formation. Elle est tout entière dirigée sur la centralité de Christ parce que vivre une vie centrée sur Jésus et ses valeurs influe sur tout le reste de l’existence. Paul veut que Christ soit au centre de la vie des chrétiens.

Dans quelle direction ça va, une vie remplie de la connaissance du Christ?

Il y a là un cœur consolé. Le cœur est dans la Bible le centre de commandement de l’ensemble de l’être. C’est le siège intérieur, le quartier général, le filtre de nos passions et de notre comportement.

D’un côté, nous avons reçu un nouveau cœur. C’est précisément la promesse de l'Ancien Testament de ce qui accompagnerait la venue du Messie:

Je leur donnerai un même cœur, et je mettrai en vous un esprit nouveau; j'ôterai de leur corps le cœur de pierre, et je leur donnerai un cœur de chair.

Ézéchiel 11.19

Mais d’un autre, ce nouveau cœur est parfois resté sensible aux éléments antérieurs à la conversion, ou extérieurs. Et il faut veiller sur son cœur.

Le cœur, c’est vraiment ce que nous devons meubler. Souvent, nous voulons changer, mais nous avons de la difficulté à trouver la volonté nécessaire à un changement profond. Nous sommes "je suis enraciné dans des habitudes, je suis canalisé par des ornières".

Le changement doit passer par le cœur, mais comment changer son cœur?

Éphésiens 4.24 nous donne l’une des clés: il y a une gymnastique pénible qui consiste à ôter / revêtir. Et surtout, il y a le renouvellement de l’Esprit dans notre intelligence. Nos cœurs changent si notre environnement mental change.

C’est de la bibliothèque de nos pensées, celles que nous chérissons, que se forge la vie de Christ. Et justement, dans le contexte d’une hérésie qui commence à diviser l’Église de Colosse, il est important que les gens qui sont légèrement divisés, et qui se regardent peut-être avec un esprit critique, réalisent que Christ apporte une pleine consolation du cœur. Parce que l’unité ne vient pas de notre volonté d'être unis, mais du fait que nous sommes déjà unis, et qu’il y a, en Jésus, tout ce qui est nécessaire à la communion fraternelle.

Le second désir de Paul, c’est que nous soyons "unis dans l’amour".

Qui parmi vous aime faire du tricot? du crochet? C’est ça "être unis dans l’amour". C’est le fait de rassembler ou d’unir des choses qui sont par ailleurs disparates.

Le verbe est assez rare dans le Nouveau Testament et comporte la notion de réconciliation. Et parce que Jésus nous a justement réconciliés à lui, nous sommes tenus d’être réconciliés les uns et les autres, non?

Le ménage quotidien est important. Il arrive certains dimanches, ou après certains temps passés ensemble, que nous nous offensions les uns les autres.

Des propos mal dits – et surtout, mal entendus! Mais si, au sein du Corps de Christ, nous ne sommes pas capables d’accorder la grâce à ceux qui nous ont offensés, à quoi sert-il de vivre avec Jésus? Comment oserions-nous alors porter son nom, nous qui sommes tellement pardonnés?

MacArthur cite Francis Schaeffer qui appelait l’unité de l’Église "l’apologétique suprême" face au monde qui l’observe. Et il ajoutait:

Le point dans Jean 13 est que, si un chrétien ne manifeste pas d’amour à l’endroit des autres chrétiens véritables, le monde a le droit de juger qu’il n’est pas chrétien. Ici [dans Jean 17.21], Jésus déclare une autre chose qui est bien plus incisive, bien plus profonde: On ne peut s’attendre à ce que le monde croie que le Père a envoyé le Fils, que les prétentions de Jésus sont vraies, et que le christianisme est vrai, si le monde ne voit pas quelque réalité de l’unité des vrais chrétiens. Voilà qui est terrifiant. Ne devrions-nous pas éprouver quelque émotion à ce point?

The Mark of the Christian, Donnais Grove, Ill.: InterVarsity, 1970, p. 15

Voici le 3e désir de Paul. Que nous soyons "enrichis d’une pleine certitude de l’intelligence".

C’est franchement imbuvable comme phrase! Ce que Paul souligne, c’est que la richesse de Christ dans nos vies ne peut se réduire, ni au domaine du cœur qui est celui de l’être intérieur, ni à celui de l’amour qui est lié à l’affectif. Mais aussi à celui de la compréhension; de l’intelligence. Ce même mot décrit l’intelligence de Jésus, alors qu’il était enfant et qu’il était devant des Pharisiens (Lc 2.47).

Une juste foi n’a jamais peur de l’intelligence, du raisonnement. En particulier quand des gens viennent vous vendre une spiritualité supérieure. Et voyez d’où viennent tous les fruits dont nous avons parlé: Paul veut que nous connaissions “le mystère de Dieu, Christ, en qui sont cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance”.

Paul reprend le terme "mystère" pour couper l’herbe sous le pied de ceux qui prétendent avoir un mystère que nul autre ne connaît!

Le mystère de Dieu, c'est quelque chose maintenant révélé dans le Nouveau Testament (qui ne l'était pas avant). Et particulièrement la révélation qu’est Jésus-Christ; Dieu venu en chair et en os.

Ce qui est intéressant ici, c’est la manière dont Jésus est présenté. En lui, sont “cachés tous les trésors de la sagesse et de la connaissance”. Pas besoin de chercher ailleurs la plénitude. Pas besoin d’aspirer à une sagesse ésotérique ou mystique.

Concrètement, comment? La sagesse pour vivre? Imitation. Exaucement. La sagesse pour comprendre la souffrance? La sagesse pour témoigner?

Nous avons tout pleinement en Christ! Nous sommes appelés à le connaître. Lisons ensemble ce que l’apôtre Pierre écrit:

6C'est là ce qui fait votre joie, quoique maintenant, puisqu'il le faut, vous soyez attristés pour un peu de temps par diverses épreuves, 7afin que l'épreuve de votre foi, plus précieuse que l'or périssable qui cependant est éprouvé par le feu, ait pour résultat la louange, la gloire et l'honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra, 8lui que vous aimez sans l'avoir vu, en qui vous croyez sans le voir encore, vous réjouissant d'une joie ineffable et glorieuse, 9parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi.

10Les prophètes, qui ont prophétisé touchant la grâce qui vous était réservée, ont fait de ce salut l'objet de leurs recherches et de leurs investigations, 11voulant sonder l'époque et les circonstances marquées par l'Esprit de Christ qui était en eux, et qui attestait d'avance les souffrances de Christ et la gloire dont elles seraient suivies. 12Il leur fut révélé que ce n'était pas pour eux-mêmes, mais pour vous, qu'ils étaient les dispensateurs de ces choses, que vous ont annoncées maintenant ceux qui vous ont prêché l'Évangile par le Saint-Esprit envoyé du ciel, et dans lesquelles les anges désirent plonger leurs regards.

1 Pierre 1.6-12

Concrètement, c’est intégrer chaque instant que Jésus est source… de vie…, de force…, c’est visualiser sa présence (le terme est volontairement provocateur et en fait inapproprié!)

Jésus annonce fermement sa présence. “Je suis avec vous tous les jours…” Cette semaine, alors que je priais pour quelque chose pour laquelle je prie trop souvent, je me suis surpris à répliquer: “Oh non, il ne s’intéresse pas à cette question.” Mais c’est faux! Il n’y a aucun domaine dont il se désintéresse.

Le vœu d’une vie de discernement selon Christ

4Je dis cela, afin que personne ne vous trompe par des discours séduisants. 5Car si je suis absent de corps je suis avec vous en esprit, voyant avec joie le bon ordre (qui règne) parmi vous et la solidité de votre foi en Christ.

Colossiens2.4-5

Si Paul souligne la centralité et la suffisance de Christ, c’est parce que le monde spirituel est piégé. Il y a plein de fausses manières d’envisager le développement de la vie chrétienne. Paul avance lentement, on le sent hésiter à sortir l’artillerie lourde. Il le fera dans les versets suivants:

Prenez garde que personne ne fasse de vous sa proie par la philosophie et par une vaine tromperie selon la tradition des hommes, selon les principes élémentaires du monde, et non selon Christ.

Colossiens2.8

Ainsi donc, que personne ne vous juge à propos de ce que vous mangez et buvez, ou pour une question de fête, de nouvelle lune, ou de sabbats.

Colossiens2.16

Que personne, sous prétexte d’humilité et d’un culte des anges, ne vous conteste à son gré (le prix de la course); (un tel homme) s’abandonne à des visions, il est enflé d’un vain orgueil par ses pensées charnelles.

Colossiens2.18

20Si vous êtes morts avec Christ aux principes élémentaires du monde, pourquoi, comme si vous viviez dans le monde, vous laissez-vous imposer (ces règlements): 21Ne prends pas! ne goûte pas! ne touche pas! 22toutes choses vouées à la corruption par l’usage qu’on en fait? Il s’agit de préceptes et d’enseignements humains, 23qui ont, il est vrai, une apparence de sagesse, en tant que culte volontaire, humilité et rigueur pour le corps, mais qui ne méritent pas d’honneur et contribuent à la satisfaction de la chair.

Colossiens2.20-23

Il y a des séductions, des enseignements trompeurs, qui semblent logiques; ce sont des paroles qui font mouche et qui se répandent:

  • Le respect du sabbat comme moyen de plaire à Dieu (cf. les adventistes et les judaïsants)
  • Le respect des règles alimentaires pour plaire à Dieu (cf. les adventistes et les judaïsants)
  • Les mille et une manières d’être délivré de démons selon certains courants, du genre: “Je sais que cette méthode ne se trouve pas dans la Bible, mais ça marche…”
  • etc.

Certains protocoles de relation d’aide peuvent devenir des formes de spiritualité qui nient la force de Christ et sa centralité. Un accent malsain mis sur une expérience spirituelle qui veut se généraliser.

Ce qui réjouit Paul, c’est que l’Église, malgré son absence de lien avec un apôtre, savait tout de même distinguer le vrai du faux; le bon du mauvais. La preuve était double:

  • L’ordre dans l’Église. Un mot qui évoque l’agencement, la juste succession des événements… les choses avaient lieu sans chaos, sans bizarrerie – un peu comme Paul le demande:

Mais que tout se fasse avec bienséance et avec ordre.

1 Corinthiens 14.40

  • La solidité de la foi. La confiance de l’Église est ferme, parce que l’objet de la foi est Jésus-Christ. C’est bien ce que Paul dit. “En Christ.” Il est, lui seul, la source de notre foi et de notre espérance.

Le vœu d’une vie de progrès avec Christ

6Ainsi, comme vous avez reçu le Christ-Jésus, le Seigneur, marchez en lui; 7soyez enracinés et fondés en lui, affermis dans la foi d’après les instructions qui vous ont été données, et abondez en actions de grâces.

Colossiens2.6-7

Cette section se conclut avec une exhortation qui découle de la centralité de la croix. Et c’est l’un des plus grands principes de vie chrétienne qui est donné au verset 6:

Ainsi, comme vous avez reçu le Christ, Jésus, le Seigneur, marchez en lui.

Comment avez-vous reçu Christ? Quelle conséquence sur notre marche?

Par la confiance dans la personne de Christ: on marche avec confiance en Christ.

Par la repentance: on pratique l’art de la repentance, et ce quotidiennement.

Par l’attitude ouverte pour qu’il devienne notre berger: on apprend à entendre sa voix et à le suivre.

En lui disant notre foi et en croyant dans le cœur: en confessant notre foi et en croyant dans son cœur.

Avec la reconnaissance pour ce qu’il accomplit: avec la reconnaissance pour ce qu’il accomplit encore.

Le verbe "marcher" est fréquent chez Paul. C’est l’idée du quotidien. "Marchez en [Christ]" c’est être conscient de sa présence en nous, et être conscient de notre présence en lui.

Car vous êtes morts, et votre vie est cachée avec le Christ en Dieu.

Colossiens3.3

C’est l’idée d’une certaine prudence dans la marche (cf. Ps 1.1-3). C’est l’idée de le refléter dans notre marche: "celui qui déclare demeurer en lui, doit marcher aussi comme lui (le Seigneur) a marché" (1Jn 2.6). C’est assez énorme comme exigence…

Trois images:

  • L’enracinement. Quelqu’un qui se nourrit de Christ dans sa marche est comme une plante solidement enracinée. Le verbe est un participe parfait, ce qui indique une action révolue dont les effets se prolongent dans le temps. Une personne en Christ est fermement attachée à lui. En fait, c’est l’attache qui fait la solidité.
  • La fondation. L’affermissement dans la foi dépend de la force de l’objet de la foi. Si Christ est véritablement le centre de la foi, alors les tempêtes pourront tenter de nous déstabiliser, ce sera finalement impossible.
  • L’affermissement. C’est un terme technique issu du langage commercial décrivant la caution permettant de conclure un marché. Il s’agit donc de bien réaliser que la foi de départ est une sorte de caution qui anticipe sur toute la suite…

Justement, le sol qui permet aux chrétiens de planter des piquets solides est constitué de l’instruction de la Parole de Dieu. C’est vraiment par ce moyen que le sol devient fondement. Ces instructions permettent de distinguer justement ce qui est erroné lorsque des faux enseignants se présentent.

Abondez en action de grâce…

Il n’est pas dit "rendez grâce ponctuellement" (comme on le ferait pour le salut, ou pour Noël!)

Abondez, abondanceun esprit reconnaissant. Un esprit caractérisé par la reconnaissance reflète la compréhension des richesses immenses qu’il a reçues de Jésus, n’est-ce pas?! C’est l’une des raisons qui me font croire qu’il y aura peu de français au ciel – on est trop râleurs!

Abonder en actions de grâce, ce n’est pas nier la difficulté. Les Psaumes sont remplis de prières qui contiennent à la fois une lamentation, et à la fois une déclaration de confiance. Ce n’est pas maintenir un sourire évangélique mielleux pour dire que tout baigne systématiquement. Paul a désespéré de conserver la vie et il le dit. La tristesse, l’accablement, font partie de la route.

Abonder en actions de grâce, particulièrement dans l’épître de Colosse, c’est mesurer et confesser, déclarer, proclamer à son âme la plénitude de ce qui nous a touchés en Jésus.

Conclusion

La suite nous détaillera ce à quoi peut ressembler une hérésie. Paul a progressé lentement avant de s'attaquer de front aux troubles et problèmes de l’Église de Colosse. Mais il a posé le fondement de son argumentation: c’est que Jésus est suffisant!

Méfiez vous de ceux qui promettent quelque chose de plus que Jésus-Christ. Qui centrent une vie spirituelle sur un autre fondement que Jésus-Christ. Qui embrigadent dans un mouvement dont les règles semblent utiles et rassurantes, mais qui ne s’appuient pas sur la puissance de Jésus…


Dans la même série:

  1. En Jésus seul! (Colossiens 1.1-5)
  2. L'Évangile en action (Colossiens 1.6-9)
  3. Les résultats de l'Évangile (Colossiens 1.10-14)
  4. La grandeur de Jésus (Colossiens 1.15-20)
  5. La réconciliation de Jésus (Colossiens 1.21-23)
  6. Le serviteur de Jésus (Colossiens 1.24-27)
  7. L'objectif ultime du serviteur de Jésus (Colossiens 1.27-29)
  8. Les vœux d'un serviteur (Colossiens 2.1-7)
  9. Le piège de "l’évangile+" (Colossiens 2.8-12)
  10. Le triomphe du Christ sur le péché (Colossiens 2.13-14)
  11. Le triomphe du Christ sur les démons (Colossiens 2.15)
  12. L’impasse du légalisme (Colossiens 2.16-23)
  13. Une vie qui découle de la croix (Colossiens 3.1-8)
  14. Christ et les relations dans l’Église, partie 1 (Colossiens 3.9-12)
  15. Christ et les relations dans l’Église, partie 2 (Colossiens 3.13-15)
  16. Célébrer Christ dans l’Église (Colossiens 3.16-17)
  17. Christ au sein du couple (Colossiens 3.18-19)
  18. Christ au sein de la famille (Colossiens 3.20-21)
  19. Christ et les relations professionnelles (Colossiens 3.22-4.1)
  20. L’impact de Christ dans le monde (Colossiens 4.2-6)
  21. Christ et la force d’une équipe (Colossiens 4.7-18)