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Tite 2.5 dit que les femmes doivent "être discrètes, chastes, maîtresses de maison, bonnes, obéissantes à leurs maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée". Bien que ce verset soit souvent interprété comme signifiant que les femmes ne sont pas autorisées à travailler en dehors de la maison, je pense qu'il existe plusieurs raisons de remettre en question cette lecture.

 Les femmes au travail dans le Nouveau Testament

Tout d'abord, si nous considérons le contexte historique et culturel dans lequel Paul écrit, nous nous rendons compte que les femmes de l'Empire romain travaillaient fréquemment…

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Foyer ou fiche de paie: faut-il choisir?

Tite 2.5 dit que les femmes doivent "être discrètes, chastes, maîtresses de maison, bonnes, obéissantes à leurs maris, afin que la parole de Dieu ne soit pas blasphémée". Bien que ce verset soit souvent interprété comme signifiant que les femmes ne sont pas autorisées à travailler en dehors de la maison, je pense qu'il existe plusieurs raisons de remettre en question cette lecture.

 Les femmes au travail dans le Nouveau Testament

Tout d'abord, si nous considérons le contexte historique et culturel dans lequel Paul écrit, nous nous rendons compte que les femmes de l'Empire romain travaillaient fréquemment en dehors de la maison, en particulier celles qui n'étaient pas riches. De plus, dans le Nouveau Testament, nous trouvons de nombreux exemples de ces femmes:

1. Priscille: elle fabriquait des tentes avec son mari Aquilas (Ac 18.2-3).
2. Phoebe: diaconesse de l'Église de Cenchrées, bienfaitrice de Paul, et celle qui délivre l'épître aux Romains (Rm 16.1).
3. Junie: elle est qualifiée de "remarquable parmi les apôtres", ce qui implique qu'elle participe activement à la diffusion de l'Évangile (Rm 16.7).
4. Marie-Madeleine: l'une des femmes qui suit Jésus et qui subvient à ses besoins avec ses propres ressources (Lc 8.2).
5. Jeanne et Suzanne: femmes qui subviennent aux besoins de Jésus et des disciples avec leurs propres ressources (Lc 8.3).
6. Dorcas: elle confectionne des vêtements pour les veuves de sa communauté (Ac 9. 36-42).
7. Evodia et Syntiche: Paul les appelle ses "compagnons d'œuvre" dans l'Évangile, ce qui implique qu'ils participent activement à la diffusion de l'Évangile et à l'édification de l'Église (Ph 4.3).

 La révolution industrielle change les sociétés

Nous devons également tenir compte de l'évolution du travail manuel. Pendant une grande partie de l'histoire, le travail est principalement effectué à la maison ou dans les champs, et les hommes et les femmes travaillent ensemble dans ces contextes. La révolution industrielle apporte des changements significatifs dans la manière dont les biens sont produits, et elle a un impact profond sur les rôles et les perceptions des femmes. Avec l'essor des usines et de la mécanisation, le travail se déplace de plus en plus hors de la maison, dans des opérations à plus grande échelle, dont le personnel est en grande partie masculin.

C'est ainsi qu'émerge l'idée de sphères séparées, selon laquelle les femmes devraient être confinées à la sphère domestique du foyer. Elles ont pour mission de créer un havre de paix et d'ordre pour leurs maris dans un monde en pleine mutation, tandis que les hommes exercent leur activité dans la sphère publique du travail et de la politique.

 Tenir compte des réalités socio-économiques

Un autre facteur à prendre en compte est le statut socio-économique. Dans les familles plus aisées, les femmes peuvent souvent rester à la maison et se concentrer sur les responsabilités domestiques parce que leur mari gagne suffisamment d'argent pour subvenir aux besoins de la famille. En revanche, pour les femmes des familles à faible revenu, travailler à l'extérieur du foyer est une nécessité pour survivre financièrement.

J'ai voyagé ou vécu dans les pays en développement pendant la moitié de ma vie. Ce que j'ai observé des réalités économiques des femmes dans ces pays, c'est que leur contribution au revenu du ménage n'est pas un simple luxe. Elle est essentielle à la survie de la famille. En fait, je connais plusieurs pasteurs sénégalais qui ne pourraient pas exercer leur ministère si leur femme n'était pas le soutien de famille, car peu d'Églises peuvent se permettre de payer à leur pasteur un salaire de subsistance.

 Les mains oisives et le retour de Christ

Un autre élément à prendre en considération est le contexte théologique dans lequel s'inscrit le commentaire de Paul dans Tite 2. La communauté chrétienne primitive croyait que le retour du Christ était imminent et que la fin du monde était proche. En conséquence, beaucoup démissionnent pour attendre d'être avec Christ. Paul ne veut rien savoir de tout cela. Il écrit:

> Si quelqu'un ne veut pas travailler, qu'il ne mange pas non plus.
>
> 2 Thessaloniciens 3.10

L'argument de Paul dans Tite 2 n'est donc pas que les femmes ne doivent pas travailler en dehors de la maison, mais plutôt que tous les croyants, hommes et femmes, doivent travailler de leurs mains (1Th 4.11), ne pas être oisifs (2Th 3.6) et participer à la moisson jusqu'au retour de Christ.

 Parallèles entre les femmes âgées et les anciens

Nous devons donc considérer l'exhortation de Paul aux femmes à la lumière de son discours parallèle aux anciens. Une lecture attentive des épîtres pastorales nous montre les similitudes frappantes entre la liste des vertus féminines de Tite 2 et la liste des qualifications des anciens masculins de 1 Timothée 3. Les femmes sont appelées à s'occuper de leur famille et de leur foyer dans Tite 2, et les anciens doivent faire de même selon 1 Timothée:

> Le responsable doit être fidèle à sa femme, bien gérer sa famille et veiller à ce que ses enfants lui obéissent, car si quelqu'un ne sait pas gérer sa propre famille, comment pourrait-il prendre soin de l'Église de Dieu?
>
> 1 Timothée 3.2-5

En outre, Paul confie à l'ancien une responsabilité domestique supplémentaire: celle de pratiquer l'hospitalité, ce que beaucoup perçoivent aujourd'hui comme un appel féminin.

 Hommes et femmes, partenaires au foyer

Tous les points que j'ai soulevés jusqu'à présent ne visaient pas à dénigrer la valeur du foyer, mais à l'élever. Dans son livre Finding Place, Jen Pollock Michel réfléchit à l'importance de la sphère domestique, qu'elle considère comme sous-évaluée dans la culture contemporaine. Elle affirme que le travail consistant à créer un foyer et à prendre soin des autres est une tâche vitale et significative qui devrait être respectée et valorisée, plutôt que rejetée comme étant sans importance ou dénuée de sens.

Elle souligne que le dessein de Dieu pour l'épanouissement humain inclut à la fois le travail de création et d'entretien d'un foyer, ainsi que le travail de contribution à la société au sens large par le biais de la vocation et d'autres activités. Elle affirme que les hommes et les femmes sont appelés à utiliser leurs dons et leurs talents au service des autres, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du foyer.

 Nous sommes libres en Christ

Cela étant dit, si une famille choisit que le mari soit le soutien de famille et que la femme reste à la maison, c'est formidable! En fait, je me réjouis pour ceux qui ont les moyens de faire ce choix. C'est particulièrement difficile à faire lorsque la culture le dénigre autant. Je connais des épouses et des mères qui se heurtent à une forte opposition parce qu'elles restent à la maison. "Qu'est-ce que tu fais de tes journées? C'est dommage que tu n'aies pas fait quelque chose de ta vie!" Je félicite les familles qui choisissent ce mode de vie. Nous pouvons glorifier Dieu, que nous travaillions à l'extérieur ou que nous soyons mères au foyer. La Bible ne nous impose pas un fardeau dans un sens ou dans l'autre. En Christ, nous sommes libres de faire l'un ou l'autre. Fonder un foyer est une entreprise louable. Ne la dénigrons pas, mais appelons plutôt tout le monde à le faire.

 Implications

1. Lorsque nous reconnaissons que les femmes comme les hommes sont appelés à servir Christ à l'intérieur et à l'extérieur du foyer, nous pouvons mieux encourager nos sœurs à trouver leur place dans l'accomplissement de la mission de Christ dans le monde.
2. De même, si nous déstigmatisons la sphère domestique pour que les hommes voient qu'ils jouent un rôle essentiel dans la prise en charge du foyer, nous aurons un partenariat plus harmonieux dans les familles. Si les maris et les pères montrent à leurs enfants l'exemple de l'amour et de l'attention qu'ils portent à leur femme en contribuant équitablement aux tâches domestiques, ils montreront à la prochaine génération de croyants comment aimer et servir Christ à l'intérieur et à l'extérieur du foyer.

 Découvrez l’épisode de notre podcast, en lien avec cet article:

 “Femme au foyer ou pas?” - Angie et Aurélie, Chrétienne 92

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 Elles répondent aux questions suivantes:

 Qu'est-ce que cela signifie pour une femme d'être une travailleuse à domicile?
 Dans quel contexte Paul a-t-il écrit ces mots?
 Dans quel contexte théologique Paul a-t-il écrit ces mots?
 Quel effet la révolution industrielle a-t-elle eu sur la manière dont les hommes et les femmes accomplissent leur travail dans les sphères privée et publique?
 Comment un croyant doit-il considérer l'entretien du foyer?

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Femme au foyer ou pas?

Pourtant, comme je l'affirme dans un article que j'ai écrit au sujet de la femme comme aide, mon principal marqueur identitaire ne peut être celui d'épouse et de mère, parce qu'ils sont temporaires, éphémères. Un accident tragique pourrait me laisser sans enfant et veuve. Un tel événement impensable me rendrait-il moins femme ou moins fille de Dieu?

D'autres femmes peuvent se définir en fonction de leur réussite professionnelle. Leur importance réside donc dans leurs réalisations. Là encore, il s'agit d'une base fragile sur laquelle construire sa vie, car un revers physique ou…

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Identité en crise: ma recension du livre

Pourtant, comme je l'affirme dans un article que j'ai écrit au sujet de la femme comme aide, mon principal marqueur identitaire ne peut être celui d'épouse et de mère, parce qu'ils sont temporaires, éphémères. Un accident tragique pourrait me laisser sans enfant et veuve. Un tel événement impensable me rendrait-il moins femme ou moins fille de Dieu?

D'autres femmes peuvent se définir en fonction de leur réussite professionnelle. Leur importance réside donc dans leurs réalisations. Là encore, il s'agit d'une base fragile sur laquelle construire sa vie, car un revers physique ou intellectuel peut rendre tous ses efforts vains.

Pour d'autres, l'absence de partenaire de vie peut assombrir tous les aspects de leur vie, projetant une ombre de douleur, de solitude et même d'échec. Mais dans tous les cas, l'antidote est le même: se tourner vers l'Évangile pour déterminer qui nous sommes. Nous avons été adoptés par le Roi des cieux et unis à son Fils, le Seigneur Jésus-Christ. Nous sommes entrés dans la famille de Dieu. C'est là notre véritable identité, et le seul chemin vers la paix et la joie éternelles.

 Un rappel nécessaire pour tous

Dans le chapitre d'ouverture de ce volume édité, Melissa Kruger précise que son principal objectif n'est pas de déterminer qui nous sommes spécifiquement en tant que femmes, puisque beaucoup d'encre a coulé ces derniers temps sur ce sujet. L'objectif d’Identité en crise est plutôt de nous aider à mieux comprendre qui nous sommes en Christ. Et ça, mes amis, c'est quelque chose que nous avons tous besoin d'entendre. C'est pourquoi, bien qu'il s'agisse d'un livre écrit par des femmes à l'intention d'un public essentiellement féminin, même les lecteurs masculins tireront profit de ces vérités.

 L'identité sous trois angles

Chaque chapitre aborde notre identité sur trois plans:

1. Le vol d'identité: Ce volet met en lumière les façons dont diverses influences culturelles et personnelles ont volé ou déformé notre identité. Cette section sert à reconnaître les défis et les obstacles que nous devons surmonter afin d'embrasser pleinement notre véritable identité en Christ.
2. Identité véritable: Ce volet met l'accent sur les fondements bibliques et théologiques de notre identité en tant que chrétiens. Cette section offre aux lecteurs une compréhension claire de notre identité en Christ, fondée sur un cadre théologique solide.
3. Identité transformée: Ce volet aborde les applications pratiques de notre identité restaurée dans divers domaines de la vie, tels que la vocation, la communauté et le corps. Cette section aide les lecteurs à voir comment notre identité en Christ transforme et influence tous les aspects de notre vie et fournit des conseils sur la manière de vivre à la lumière de cette vérité.

 10 vérités sur notre identité

Melissa Kruger a réuni quelques-unes des enseignantes bibliques les plus douées et les plus sages que je connaisse. Chacune d'entre elles aborde l'un des aspects suivants de notre identité dans un cadre biblique:

 1. Chapitre 1 - “Libre: Sauvés par la grâce” explore la liberté que nous avons en Christ, et la grâce qui nous sauve du péché et de la honte.
 2. Chapitre 2 - “Réflexion: Faits à l'image de Dieu” examine l'importance de nous comprendre comme étant faits à l'image de Dieu, et les défis qui en découlent.
 3. Chapitre 3 - “L'enfant: Aimé par le Père” examine l'idée d'être un enfant de Dieu, et l'amour inconditionnel et l'acceptation de notre Père céleste.
 4. Chapitre 4 - “Saint: Racheté par le Fils” explore le concept de la sainteté, et de la vocation sacrée que nous avons en tant que disciples de Christ.
 5. Chapitre 5 - “Fructueux: Rempli de l'Esprit saint” examine l'idée de vivre une vie fructueuse, qui est habilitée par le Saint-Esprit et qui a un sens et un but.
 6. Chapitre 6 - “Membre: Relié à l'Église” examine l'importance de faire partie du corps de Christ, et l'impact que cela a sur notre identité et notre raison d'être.
 7. Chapitre 7 - “Belle: Vêtu de splendeur” explore le concept d'être fait à l'image de Dieu, et la beauté qui découle du fait de refléter son image.
 8. Chapitre 8 - “Serviteur: Récolter une récompense” examine l'idée d'être un serviteur, et de suivre l'exemple de service de Christ.
 9. Chapitre 9 - “L'adorateur: Briller" dans les ténèbres” explique comment, le fait de savoir que je suis un adorateur, m'aide à diriger mon adoration vers la seule personne qui en est digne.
10. Chapitre 10 - “Citoyen: La nostalgie du foyer” examine la tension que représente le fait d'être citoyen, à la fois du royaume de Dieu et du monde, ainsi que la nostalgie de notre véritable demeure auprès de Christ.

 Conclusion

Si vous, ou une femme que vous connaissez, avez du mal à trouver votre identité en Christ, je vous recommande vivement ce livre. Les adolescentes et les jeunes femmes bombardées par la culture de questions sur leur identité peuvent particulièrement bénéficier de ses chapitres courts et faciles à lire. Vous pouvez le trouver ici au Québec et ici en Europe.


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 Découvrez également un épisode de notre podcast en lien avec cet article:

 Identité en crise – Angie et Aurélie, Chrétienne 091

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 Elles répondent aux questions suivantes:

 Pourquoi ce sujet est-il si important à notre époque?
 Sous quels angles notre identité est-elle abordée dans chaque chapitre?
 Quels éléments de notre identité sont abordés dans chaque chapitre?

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Identité en crise

 Nous répondons aux questions suivantes:

 Qu'est-ce que les soins palliatifs et à qui s'adressent-ils?
 Quelles sont les raisons pour lesquelles les gens demandent l’aide médicale à mourir (AMM)?
 Quelle est la différence entre la sédation palliative et l’AMM?
 Que disent les médecins spécialistes des soins palliatifs à ce sujet et quelles sont leurs préoccupations?
 Comment les croyants et les Églises peuvent-ils être impliqués dans les soins palliatifs?

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Si on parlait de la fin de vie? avec Esther Beatty

 Ne sautez pas l’introduction

J’ai failli sauter l’introduction de l’auteur au début du livre. Je suis très heureuse de ne pas l’avoir fait. Elle m’a permis de comprendre que Scott James s’appuie sur des années d’expérience en tant que pédiatre.

Qui pourrait mieux conseiller les mamans, les papas, et les enfants eux-mêmes qu’une personne dont la vocation l’amène régulièrement à être en contact avec des enfants malades?

Pour les aider dans cette tâche, James présente à ses lecteurs un petit garçon dénommé Lucas, dans une situation de maladie.

 Le lundi matin pourri de Lucas

Un lundi matin glacial, Lucas…

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Aider les enfants à faire confiance à Dieu quand ils sont malades

 Ne sautez pas l’introduction

J’ai failli sauter l’introduction de l’auteur au début du livre. Je suis très heureuse de ne pas l’avoir fait. Elle m’a permis de comprendre que Scott James s’appuie sur des années d’expérience en tant que pédiatre.

Qui pourrait mieux conseiller les mamans, les papas, et les enfants eux-mêmes qu’une personne dont la vocation l’amène régulièrement à être en contact avec des enfants malades?

Pour les aider dans cette tâche, James présente à ses lecteurs un petit garçon dénommé Lucas, dans une situation de maladie.

 Le lundi matin pourri de Lucas

Un lundi matin glacial, Lucas se réveille avec un mal de gorge et de la fièvre. Ses parents décident alors de l’emmener chez le médecin.

“Je n’aime pas les médecins!” (Je suppose que l’auteur a lui-même entendu cette phrase plus d’une fois!) Son père le rassure en lui disant que le Dr Helen veut simplement l’aider à se sentir mieux, puis lui cite un verset qu’il lui propose de mémoriser, et prie avec lui.

 4 leçons pour les enfants malades

Ensuite, nous accompagnons Lucas lors de sa visite chez le médecin qui examine sa gorge, ses oreilles, son ventre, et sa respiration et décide de lui faire passer quelques tests. Ensuite, elle le renvoie chez lui avec quatre conseils pour les malades jeunes et vieux: “Lave-toi les mains, reste à la maison jusqu’à ce que tu te sentes mieux, porte un masque et garde tes distances avec les autres.” Elle fonde ses conseils sur un principe biblique simple: L’amour du prochain.

> Dieu aime prendre soin de toi, rappelle Dr Helen au jeune garçon, et toi aussi, tu peux prendre soin des autres.

Avec l’aide de ses parents, Lucas, une fois rentré chez lui, fait exactement ce que son médecin lui a prescrit. À travers tout cela, ses parents l’encouragent avec la Parole de Dieu, à trouver sa force dans le Seigneur.

 3 suggestions pour les parents

James conclut en adressant un mot aux parents quant à la manière de parler à leurs enfants lorsqu’ils sont malades:

> Reconnaissez que la maladie est difficile, ancrez-les sur le fondement sûr du Christ, et montrez-leur qu’ils font partie d’une communauté plus grande: l’Église de Jésus-Christ.

 Conclusion

Avec simplicité et tendresse, Scott James offre aux jeunes lecteurs une ressource riche qui les aidera à traverser la maladie tout en ayant une vision biblique du monde.

Les illustrations de Trish Mahoney donnent du caractère au livre et contribuent à le rendre agréable à lire.

Le livre Dieu prend soin de moi: aider les enfants à faire confiance à Dieu quand ils sont malades est disponible ici pour le Canada et ici pour l’Europe.

Pas du tout.

Je suis complémentariste, parce que je crois que c’est la position biblique la plus claire. Cela signifie-t-il que je pense que nos frères et sœurs égalitariennes sont des hérétiques avec lesquels nous devrions rompre la communion? En aucun cas. C’est une question de doctrine secondaire, au même titre que les questions de prédestination et de libre arbitre, les dons miraculeux, l’eschatologie, etc. Cela étant dit, même si cette doctrine est secondaire, mon positionnement a un impact significatif sur la manière dont je vis ma foi et ma vie en communauté. C’est pourquoi j’ai voulu l’aborder…

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Non, je ne suis pas égalitarienne.

Pas du tout.

Je suis complémentariste, parce que je crois que c’est la position biblique la plus claire. Cela signifie-t-il que je pense que nos frères et sœurs égalitariennes sont des hérétiques avec lesquels nous devrions rompre la communion? En aucun cas. C’est une question de doctrine secondaire, au même titre que les questions de prédestination et de libre arbitre, les dons miraculeux, l’eschatologie, etc. Cela étant dit, même si cette doctrine est secondaire, mon positionnement a un impact significatif sur la manière dont je vis ma foi et ma vie en communauté. C’est pourquoi j’ai voulu l’aborder dans cet article et le podcast qui l’accompagne.

 Est-ce une question de compétence?

Un fidèle auditeur masculin de notre podcast Chrétienne a récemment fait le commentaire suivant sur l’un de nos épisodes sur YouTube:

> Pourquoi certaines Églises enseignent-elles que les femmes ne doivent pas enseigner? À l’Armée du Salut, dont je suis membre, les femmes enseignent et certaines bien mieux que les hommes.

Je suis tellement reconnaissante pour ce frère et ses fréquents commentaires encourageants. Pourtant, cette question particulière suggère que la raison pour laquelle les Églises complémentariennes ne permettent pas aux femmes d’enseigner (dans certains contextes) est due à un manque de compétence. Certaines Églises peuvent communiquer cela implicitement ou explicitement, mais la plupart des Églises complémentariennes saines ne le font pas. Car ce que les Écritures enseignent sur les rôles des sexes n’a rien à voir avec la compétence et tout à voir avec le bon plan de Dieu pour l’humanité. Pour le découvrir, nous devons revenir au début.

 Le mandat culturel confié à l’homme et à la femme

Dans Genèse 1-2, nous découvrons deux récits différents de la création. Le premier, au chapitre 1, est une vue d’ensemble: Dieu donne l’existence à toutes choses. Il crée les cieux, la terre et les mers, puis il les remplit du soleil, de la lune et des étoiles, ainsi que de créatures volantes, nageantes et rampantes de toutes sortes. Et enfin, il couronne sa création en formant l’humanité à son image.

Dans Genèse 1.26-31, Dieu donne à l’homme et à la femme le mandat culturel de gouverner ensemble toute la création en tant que corégents. Ainsi, dès le départ, nous voyons que Dieu les crée égaux en dignité, en valeur et en vocation. Il leur confie une tâche qu’ils ne peuvent accomplir qu’ensemble. Il ne dit pas à l’homme d’exercer la domination et à la femme d’être féconde et de se multiplier. Tous deux doivent travailler ensemble pour accomplir leur mission dans le monde.

 L’homme et la femme: Égaux mais distincts

Au chapitre 2, l’auteur ralentit le rythme et raconte à nouveau l’histoire, mais en accordant une attention particulière à la création du premier homme et de la première femme. Et c’est là que nous commençons à voir certaines des distinctions entre eux. Des caractéristiques antérieures à la chute.

 1. L’ordre de la création

Dieu crée d’abord l’homme, puis la femme. Je crois que Dieu fait cela pour deux raisons. Premièrement, pour souligner le besoin de communauté d’Adam. Amenant tous les animaux devant lui deux par deux, l’Éternel demande à l’homme de les nommer. Pourtant, aucun compagnon qui lui correspond n’est trouvé (Gn 2.20). Il manque quelque chose, ou plutôt quelqu’un, et il faut être seul pour que l’homme apprécie cette réalité.

La deuxième raison pour laquelle Dieu crée Adam en premier est de souligner son leadership. Nous voyons cela de plusieurs façons. Premièrement, Dieu confie à Adam la responsabilité de nommer les animaux. Et deuxièmement, avant de former la femme de son côté, Dieu donne à l’homme le commandement de ne pas manger de l’arbre de la connaissance du bien et du mal. Paul s’appuie donc sur l’ordre de la création pour expliquer le dessein de Dieu concernant le leadership masculin dans l’Église (1Co 11.8-9, 1Tm 2.9-15).

 2. La femme comme aide

Avant la chute, Dieu confie à la femme le rôle de l’aide de l’homme (Gn 2.18). Une citation des notes de la NET Bible nous aide à comprendre ce verset:

> Le sens du mot « bon » doit être défini en fonction du contexte. Dans le contexte de la création, dans lequel Dieu ordonne à l’homme d’être fécond et de se multiplier, l’homme seul ne peut s’y conformer. Le fait d’être seul empêche l’homme d’accomplir le dessein de la création et n’est donc pas bon.
>
> Gn 2.18, note n°56, " target="_blank" rel="noreferrer noopener">NET Bible.

L’utilisation du terme hébreu ne suggère pas un rôle subordonné, une connotation que le terme anglais « helper » peut avoir. Dans la Bible, Dieu est fréquemment décrit comme « l’assistant », celui qui fait pour nous ce que nous ne pouvons pas faire par nous-mêmes, celui qui répond à nos besoins. Dans ce contexte, le mot semble exprimer l’idée d’un « compagnon indispensable ». La femme fournirait ce qui manque à l’homme dans la conception de la création et, logiquement, il s’ensuivrait que l’homme fournirait ce qui lui manque, bien que cela ne soit pas précisé ici.

 Les relations entre les sexes à la chute

Genèse 3.16 a été mal compris à travers l’histoire de l’Église. La signification exacte de ce verset fait l’objet de beaucoup de débats. Mais une chose est claire: Dieu n’ordonne pas à l’homme de dominer la femme. Il ne dit pas: « Tu dois assurer sa soumission. Sois certain de la garder dans le rang. »

Ce verset parle plutôt d’une conséquence naturelle de la chute. Et je dirais que la relation conflictuelle possible entre l’homme et la femme est annulée par la rédemption. Grâce à Christ, l’homme et la femme peuvent vivre en harmonie.

 Des femmes courageuses dans l’histoire de la rédemption

La Bible a tant à dire sur les femmes dans l’histoire de la rédemption. Lorsqu’il s’agit de cette conversation, nous sautons souvent directement aux passages clés. Mais la Bible raconte une histoire de rédemption unie et cohérente. Les auteurs des Écritures s’efforcent de mettre en valeur des femmes courageuses dont la foi en Dieu est parallèle à celle de leurs contemporains masculins. Nous n’avons pas le temps de mentionner toutes les femmes de foi dans les Écritures, ni de raconter leur histoire, mais je veux au moins en mentionner quelques-unes:

 Miriam: Prophétesse
 Rahab: Femme de courage
 Déborah: Juge et prophétesse
 Jaël: La tueuse de Sicera
 Ruth: Femme de courage
 Hannah: Femme de foi
 Abigail: Femme de sagesse
 Huldah: Prophétesse
 Esther: Reine et libératrice
 Marie, mère de Jésus: Servante du Seigneur
 Elisabeth: Femme de prière
 Marie de Béthanie: Femme de la Parole
 Marthe: Femme d’intelligence
 Marie-Madeleine: Femme de dévotion
 Priscille: Femme de la Parole
 Phoebe: Marraine de Paul
 Évodie et Syntiche: Collaboratrices de Paul
 Junie: Éminente parmi les apôtres

 Le leadership masculin à la maison

Si l’on passe au Nouveau Testament, on trouve le passage le plus détaillé concernant le leadership masculin au foyer dans Éphésiens 5.22-33, qui fait partie d’une série de codes de maison (Col 3.18-4:1; Ép 5.21-6.9; Tt 2.1-10; 1P 2.18-3.7). Ces textes indiquent clairement que la femme doit se soumettre à son propre mari. Pas à tous les hommes. Certains complémentariens enseignent que toutes les femmes sont tenues de se soumettre à tous les hommes, mais il n’y a aucune preuve claire de cela dans les Écritures.

Cela étant dit, ce passage ne doit pas être considéré comme purement culturel et sans rapport avec notre époque. Car Paul ancre ici son argumentation sur deux vérités intemporelles: l’amour de Christ pour son Épouse, et la condition du mari et de la femme avant la chute.

Certains ont fait valoir que cet enseignement fait peser un lourd fardeau sur les femmes. Pourtant, je dirais, au contraire, que les exigences imposées aux maris sont bien plus grandes! Si la soumission n’est pas toujours facile pour une femme, le sacrifice de soi d’un mari à la manière de Christ jusqu’à la mort est encore plus difficile! De plus, alors que Paul décrit la responsabilité de la femme en deux versets, il prend huit versets pour élaborer sur celle du mari.

 Les limites de la soumission volontaire

Il est important de préciser que la soumission de la femme est volontaire. Nulle part dans ce passage, ni ailleurs dans les Écritures, il n’est demandé aux maris de garantir la soumission de leur femme. La Bible adresse toujours cette exhortation directement à la femme. Elle doit se soumettre à son mari. Comment? Comme au Seigneur. Cela signifie qu’il y a des limites à cette soumission. Si un mari exige quelque chose qui va à l’encontre de Christ, la femme doit se soumettre au Seigneur plutôt qu’à lui.

 Le leadership masculin dans l’Église

1 Corinthiens 14.33-36 est l’un des passages clés sur le leadership masculin dans l’Église. Les spécialistes égalitaristes soutiennent que l’injonction des femmes à se taire est une pratique culturelle unique à Corinthe. Pourtant, au v. 33, Paul qualifie cette pratique « dans toutes les Églises ». Il indique ainsi qu’il ne s’agit pas d’un incident isolé nécessitant des instructions spéciales pour les femmes turbulentes d’une église dans une ville.

 Un bâillon pour les femmes?

La question se pose: Paul a-t-il l’intention de mettre un bâillon sur la bouche des femmes? Pas du tout. La plupart des spécialistes pensent que le silence exigé des femmes se limite au jugement des prophètes. La raison en est que ces versets se trouvent dans une longue série d’instructions sur la manière de conduire le culte public de manière ordonnée (1Co 11-14).

Paul commence la section au chapitre 11 en abordant la question des voiles, ainsi que de la Table du Seigneur. Il parle ensuite, au chapitre 12, des dons spirituels et de leur exercice dans le corps de Christ, l’Église. Dans 1 Corinthiens 13, Paul insiste sur le fait que tout ce qui se fait dans l’assemblée des saints doit être fondé sur l’amour. Il revient ensuite au chapitre 14 pour donner d’autres instructions sur le bon déroulement du culte public, en particulier sur l’usage des langues et la prophétie.

Il ne peut s’agir pour Paul de bâillonner les femmes, étant donné que dans 1 Corinthiens 11, il donne des instructions sur la manière dont une femme doit prier et prophétiser pendant le culte public. Nous ne savons peut-être pas exactement à quoi ressemble la prophétie dans le NT, mais Paul est clair sur le fait que les femmes, tout comme les hommes, sont libres de prier et de prophétiser dans le culte public.

 Enseignement avec autorité: réservé aux anciens

Un dernier texte à considérer sur le leadership masculin dans l’Église est 1 Timothée 2.9-15. Nos amis égalitaristes ont aussi tendance à soutenir que ce passage parle du moment culturel de Paul et des circonstances uniques entourant l’église éphésienne et la proéminence des femmes dans le culte d’Artémis. Mais, encore une fois, le fait que Paul ancre son argument dans la création et la chute le rend applicable à toutes les époques.

 Les femmes en tant qu’apprenantes

Plutôt que de voir ce texte à travers nos propres lunettes culturelles, nous faisons bien de le considérer dans son contexte culturel et de voir la dignité qu’il donne aux femmes. Les femmes sont encouragées à recevoir de l’instruction au v. 11. Cela contraste avec la tradition rabbinique courante à l’époque de Paul. Dans le Talmud de Jérusalem, il est écrit: « Les paroles de la Torah devraient être brûlées plutôt que confiées à des femmes. »

En outre, nous devons comprendre ce passage dans son contexte littéraire, car dans les versets qui suivent, Paul énonce les exigences relatives aux anciens. Pour cette raison, de nombreux spécialistes pensent que l’enseignement ayant autorité que Paul interdit aux femmes est celui qui est réservé aux hommes qualifiés, c’est-à-dire aux anciens.

Comme nous l’avons déjà vu dans 1 Corinthiens 11, les femmes ne sont pas exclues de toute forme d’enseignement. Nous en voyons un autre exemple dans Actes 18.26, où Priscille, avec son mari Aquila, instruit Apollos de manière plus précise dans la voie de Christ. Parmi les autres exemples de femmes enseignant les Écritures, citons les femmes prophètes de l’Ancien Testament et les sept filles de Philippe dans le Nouveau Testament.

 Ma mission: Inspirer et équiper les femmes

Une étude approfondie de tout ce que la Bible a à dire sur le genre dépasse le cadre de cet article, tout comme une discussion de tous les détails de ce qu’une femme peut ou ne peut pas faire dans l’église. Cette question doit être tranchée par les anciens de l’Église sur la base d’une étude approfondie des Écritures. Ce que nous savons, c’est ceci: Dans Tite 2, Paul demande aux femmes d’enseigner à d’autres femmes. L’Écriture enseigne également que les femmes, tout comme les hommes, ont des dons spirituels et sont appelées à les mettre en œuvre pour édifier le corps de Christ dans leur exercice. J’ai le privilège d’équiper les femmes pour qu’elles fassent exactement cela: ma mission est d’inspirer et d’équiper les femmes francophones afin qu’elles soient capables de déterrer les trésors des Écritures pour elles-mêmes.

 Le genre et moi

Alors, pourquoi ce sujet mérite-t-il d’être abordé? Parce que comprendre la mission biblique des femmes est un défi majeur du 21ème siècle. Quel est mon rôle dans cette grande histoire? Comment puis-je mieux refléter le Christ dans mon foyer, dans mon Église, dans mon entourage? Alors que la société progresse dans la confusion des genres, nous devons rechercher la gloire de Dieu.

 Le genre et nous

Les responsables d’Église doivent définir le rôle des femmes dans leur assemblée. Dans de nombreuses Églises, les femmes boitent (un pied dans l’Église –ou juste sur la pointe des pieds– et un autre à l’extérieur). Je comprends qu’il y ait des craintes, mais c’est aux anciens de dire où commence et où finit le ministère des femmes avec un support biblique solide. Si l’Église ne donne pas une vision biblique claire des rôles de genre, nous n’accomplirons pas le mandat que Dieu nous a donné dans Genèse 1 et 2.

 Le genre et l’éternité

Notre but ultime dans la manière dont nous vivons en tant qu’hommes et femmes dans l’Église n’est pas terrestre, mais céleste. Nous désirons être sans tache ni ride lorsque Christ apparaîtra au dernier jour. Nous aspirons à être cette communauté d’hommes et de femmes qui adorent d’un seul cœur, d’une seule voix, pour la gloire de Dieu. Cette perspective eschatologique devrait nous aider à faire preuve de grâce et d’amour envers ceux qui ne partagent pas la même position et à faire preuve de sagesse et de patience pour vivre la vie de l’Église dans l’unité et la paix.1

1 Un grand merci à ma coanimatrice Aurélie, pour ses réflexions que j’ai empruntées pour cette dernière section.

 Découvrez l’épisode de notre podcast en lien avec cet article:

 « Pourquoi nous ne sommes pas égalitariennes? » – Angie et Aurélie, Chrétienne 088

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 Elles répondent aux questions suivantes:

 Les distinctions entre hommes et femmes précèdent-elles la chute?
 Le fait qu’une doctrine soit secondaire la rend-elle sans importance?
 Comment le fait de savoir ce que nous croyons sur ce sujet nous aide-t-il à mieux vivre notre vie chrétienne?

 Pour aller plus loin:

 L’épisode 47 sur « L’essentiel de la foi chrétienne »
 L’article d’Angie sur ce qu’il est essentiel de croire pour un chrétien
 L’article d’Angie sur les hommes et les femmes comme co-régents
 L’article d’Angie sur la raison pour laquelle le rôle d’aide exalte les femmes
 The NET…

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Pourquoi nous ne sommes pas égalitariennes?

 Elles répondent aux questions suivantes:

 Les distinctions entre hommes et femmes précèdent-elles la chute?
 Le fait qu’une doctrine soit secondaire la rend-elle sans importance?
 Comment le fait de savoir ce que nous croyons sur ce sujet nous aide-t-il à mieux vivre notre vie chrétienne?

 Pour aller plus loin:

 L’épisode 47 sur « L’essentiel de la foi chrétienne »
 L’article d’Angie sur ce qu’il est essentiel de croire pour un chrétien
 L’article d’Angie sur les hommes et les femmes comme co-régents
 L’article d’Angie sur la raison pour laquelle le rôle d’aide exalte les femmes
 The NET Bible notes on Genesis 2 (anglais)
 L’épisode 8 sur Ève

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La sagesse que nous avons apprise est bien plus grande que ce que je peux couvrir dans un seul article. Une session qui m’a particulièrement marquée est celle de Jen Wilkin, intitulée « Comment enseigner la Bible dans différents contextes ». J’aimerais donc vous faire part de quelques-unes de ses idées les plus utiles, accompagnées de mes propres réflexions.

 Tenez compte de votre public

Que nous enseignions à un groupe de cinq personnes dans notre salon ou à 50 personnes lors d’une réunion plus importante, nous devons respecter le temps des gens en commençant et en terminant à l’heure…

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Enseigner la Bible dans différents contextes

La sagesse que nous avons apprise est bien plus grande que ce que je peux couvrir dans un seul article. Une session qui m’a particulièrement marquée est celle de Jen Wilkin, intitulée « Comment enseigner la Bible dans différents contextes ». J’aimerais donc vous faire part de quelques-unes de ses idées les plus utiles, accompagnées de mes propres réflexions.

 Tenez compte de votre public

Que nous enseignions à un groupe de cinq personnes dans notre salon ou à 50 personnes lors d’une réunion plus importante, nous devons respecter le temps des gens en commençant et en terminant à l’heure. C’est la première façon d’établir la crédibilité.

Au-delà de cette considération pratique, nous nous adresserons à un groupe de cinq personnes de manière beaucoup plus organique et interactive qu’à un groupe de 50 personnes. Mais même avec un groupe plus important, nous voulons adopter une approche conversationnelle. Dans la mesure du possible, créer un espace pour qu’un grand groupe puisse se diviser en petits groupes permettra de consacrer le temps nécessaire à la discussion. La taille du groupe influencera également le type de questions que nous poserons, car les questions à réponses longues sont plus difficiles à inclure dans un message destiné à un public plus large.

 Donner la priorité à l’étude biblique

Lorsqu’il s’agit du but de la réunion, il faut que nos intentions soient claires. Nous nous réunissons pour étudier la Bible. Si les participants s’attendent à une méditation de 15 minutes suivie de 45 minutes de collations et de plaisanteries, ils risquent d’être déçus de découvrir que vous vous êtes préparés à un scénario inverse dans la répartition de votre temps.

En ce qui concerne la prière, cela peut sembler impie, mais le partage des requêtes de prière peut prendre le pas sur le temps qui devrait être consacré à la Parole de Dieu. Plutôt que de prévoir un temps de partage, envisagez de distribuer des cartes sur lesquelles vous pourrez noter une requête de prière. Demandez ensuite à chaque personne présente de prier chez elle cette semaine-là pour la personne qui se trouve à sa gauche.

 Adopter un style d’enseignement interactif

Je dois admettre que ce point est un défi pour moi. La plupart des formations que j’ai reçues à la faculté de théologie et au-delà se sont concentrées sur l’enseignement magistral. Pourtant, des études montrent que plus l’environnement d’apprentissage est passif, plus la rétention est faible. Jen nous a donc mises au défi de considérer l’enseignement comme une expérience dialogique, que nous enseignions à 5, 50 ou même 5000 personnes.

L’enseignement dialogique crée un environnement d’apprentissage actif. La façon d’y parvenir dans un cadre plus large est d’imaginer la manière dont vous enseigneriez la même leçon, assis dans votre salon. Bien que vous ne puissiez pas interagir avec un grand groupe de la même manière qu’avec un petit groupe, vous pouvez toujours faire participer votre auditoire en lui posant des questions tirées du texte. Par exemple: « Quel est le prochain verbe que nous voyons dans ce passage? Où l’avons-nous déjà vu? » Ces questions à réponse courte permettent aux auditeurs de participer, quelle que soit la taille du groupe.

 Poser de bonnes questions

On ne saurait surestimer l’importance de poser de bonnes questions. Cela ne va pas de soi, ni pour l’enseignant de la Bible, ni pour l’étudiant. En tant qu’enseignants, nous devons aiguiser cette compétence en développant notre curiosité. Nous nous améliorerons également dans ce domaine en nous mettant à la place de nos étudiants et en anticipant les types de questions qu’ils poseront, les objections qu’ils soulèveront et les pistes qu’ils seront tentés d’emprunter. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons former nos auditeurs à poser les bonnes questions, qu’ils poseront ensuite au texte lorsqu’ils étudieront la Bible pour eux-mêmes. L’objectif n’est pas de fournir simplement les bonnes réponses, mais de développer la discipline d’aborder le texte avec curiosité.

Nos questions se répartissent en trois catégories: l’observation, que certains pourraient considérer comme ennuyeuse et évidente; l’interprétation, que certains pourraient considérer comme votre travail de répondre pour eux; et l’application, à laquelle certains pourraient s’intéresser prématurément si on ne leur a pas enseigné correctement.

 Éviter les questions problématiques

Les questions problématiques peuvent appartenir à l’une des catégories suivantes. Tout d’abord, poser des questions auxquelles on peut répondre par oui ou par non ne stimule généralement pas la réflexion de nos auditeurs. De même, la réponse à certaines questions peut être si évidente qu’il semble inutile de la poser. Si la réponse à la plupart de nos questions est « Dieu » ou « Jésus », nous devrions peut-être envisager de composer de meilleures questions. En revanche, si la répétition du nom de Dieu est significative, ce serait une bonne raison de demander: « Pourquoi pensez-vous que ce mot apparaît si souvent dans notre passage? »

Troisièmement, nous devons éviter de poser des questions dont l’étudiant ne connaîtrait pas raisonnablement la réponse, comme par exemple la nuance de l’utilisation par Paul de la voix moyenne aoriste. Enfin, Wilkin suggère d’éviter les questions qui obligent nos auditeurs à divulguer des informations trop personnelles. Une façon de faciliter cela est de poser moins de questions sur moi/maintenant et plus de questions sur nous/dans tous les temps (l’Église à travers les âges).

 Conseils utiles pour poser de bonnes questions

 Faire en sorte que le brise-glace serve un double objectif

De peur que nous ne soyons découragés par toutes les mauvaises façons de poser des questions énumérées ci-dessus, Wilkin propose quelques façons utiles de poser des questions. La première consiste à se servir de questions brise-glace pour préparer les auditeurs à l’étude de la Parole. J’ai été heureuse de découvrir cette méthode récemment, alors que j’étais chargée de briser la glace lors du petit-déjeuner des femmes de notre église, juste avant que mon amie Martha n’enseigne sur la tentation de Christ.

Plutôt que de jouer à un jeu sans rapport avec le sujet pour permettre aux femmes de se connaître, j’ai demandé à toutes les femmes de se lever et à chacune de s’asseoir si elle avait déjà été tentée de la manière suivante: excès de vitesse sur le chemin de l’église, mensonge à une amie qui lui demandait si elle était belle dans une nouvelle tenue, etc.

 Poser des questions qui nécessitent plusieurs réponses

Attirez l’attention de vos auditeurs en posant des questions pour lesquelles plusieurs réponses sont possibles. Par exemple, plutôt que de demander: « Croyons-nous que Dieu est sage? », posez la question suivante: « Où, dans la Bible, voyons-nous des exemples clairs de la sagesse de Dieu? »

 Se préparer aux mauvaises réponses

Comment réagir lorsqu’un étudiant donne une réponse erronée? Wilkin suggère de se tourner vers quelqu’un d’autre dans le groupe et de demander: « C’est intéressant. Qu’en penses-tu, Evelyne? » Le fait d’impliquer d’autres participants amènera probablement un autre élève à répondre correctement, et l’enseignant pourra alors dire: « Bien! Je pense que vous êtes sur la bonne voie. »

 Affronter les questions difficiles

Certains passages de l’Écriture soulèveront naturellement des questions épineuses de la part de nos auditeurs. Par exemple, lorsque j’ai enseigné les Psaumes, j’ai dû me battre pour savoir ce que nous, croyants de la Nouvelle Alliance, devions faire des psaumes imprécatoires. Nous pouvons souhaiter éviter ces questions difficiles, mais nous devons à nos auditeurs d’étudier les Écritures suffisamment bien pour y répondre avec l’aide de l’Esprit.

 Varier les questions d’application

En tant que femme mariée avec des enfants, la chose la plus naturelle au monde pour moi serait de penser à la manière dont un texte s’applique à d’autres femmes dans ma situation. Cependant, plutôt que de parler en termes d’époux et d’enfants, un enseignant avisé demandera: « Comment la vérité de ce passage affecte-t-elle nos relations principales? Si je prenais au sérieux l’exemple d’humilité du Christ, quelle personne dans ma vie bénéficierait le plus de la mise en pratique de son exemple? »

En outre, la plupart d’entre nous, enseignants de la Bible, avons des sujets d’application sur lesquels nous revenons souvent. Mais nous devons nous discipliner à varier les façons dont nous appliquons la Parole à nos auditeurs. Une façon de le faire est de penser en termes de cercles concentriques: comment puis-je mettre en pratique cette vérité dans mon foyer, mon Église, mon lieu de travail, ma communauté et ma nation? Une autre façon est de se demander comment cette vérité change ma façon de penser, de parler ou d’agir.

 Un outil pour les parents d’enfants de 3 à 5 ans

L’identité de genre n’est pas un sujet que nous pourrons résoudre en une seule conversation avec nos filles et nos fils. Nous devrons dialoguer fréquemment sur ces questions au fur et à mesure qu’ils passent par les différentes étapes de leur développement. Si vous avez des enfants âgés de 3 à 5 ans et que vous cherchez un outil pour vous aider à entamer la conversation, ce petit livre de Marty Machowski est exactement ce qu’il vous faut.



 « Si tu continues à jouer avec les garçons, tu vas…

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La différence des sexes est un don de Dieu: aidons nos enfants à comprendre cela

 Un outil pour les parents d’enfants de 3 à 5 ans

L’identité de genre n’est pas un sujet que nous pourrons résoudre en une seule conversation avec nos filles et nos fils. Nous devrons dialoguer fréquemment sur ces questions au fur et à mesure qu’ils passent par les différentes étapes de leur développement. Si vous avez des enfants âgés de 3 à 5 ans et que vous cherchez un outil pour vous aider à entamer la conversation, ce petit livre de Marty Machowski est exactement ce qu’il vous faut.



 « Si tu continues à jouer avec les garçons, tu vas devenir un garçon »

Loin d’être un texte stérile d’éducation sexuelle, Machowski attire les jeunes auditeurs en leur racontant une histoire. La protagoniste, Maya, choisit de jouer au football avec les garçons à la récréation plutôt que de sauter à la corde avec les filles. Cette décision lui attire les foudres de son camarade de classe Lucas, qui est contrarié parce qu’elle est plus rapide que lui. « Si tu continues à jouer avec les garçons, tu vas devenir un garçon! » Heureusement, leur professeur, M. Ramirez, entend le commentaire blessant du garçon et décide que c’est le moment opportun pour instruire ses élèves sur le don de Dieu dans la différence des sexes.

 L’Écriture et la science nous enseignent le genre

En termes simples et accessibles, Machowski via M. Ramirez explique les différences entre les sexes à partir de la Bible et de la science. Il nous ramène au jardin, où Dieu a créé l’homme et la femme à son image (Gn 1.27). Dès le début, Dieu a choisi que certains soient des hommes et d’autres des femmes. L’enseignant explique ensuite que nous pouvons dire qui est un garçon et qui est une fille grâce à leur sang, leurs doigts, leurs orteils et toutes les cellules de leur corps, et aussi grâce à de minuscules codes appelés chromosomes X et Y. Nous ne les choisissons pas, et nos parents non plus. Seul Dieu décide notre code.

 Dieu détermine notre sexe

L’auteur démontre en outre que, dans son infinie sagesse, notre Créateur a donné une grande variété de talents et de capacités aux hommes et aux femmes. Certaines filles sont des danseuses douées, tandis que d’autres sont d’excellentes scientifiques. Certains garçons sont des coureurs rapides, tandis que d’autres préfèrent cuisiner ou dessiner. L’auteur souligne que, ce n’est pas ce que nous faisons, ce que nous aimons, ou ce que nous pensons qui fait de nous un garçon ou une fille. C’est Dieu lui-même qui détermine notre sexe. Et notre sexe, ajoute-t-il, fait partie de l’identité que Dieu nous a donnée en cadeau, et Dieu ne se trompe jamais.

 La chute et l’appel de l’Évangile

La chute, cependant, a introduit le péché et la mort dans le monde. Il en est résulté une confusion à tous les niveaux: corps, esprit et cœur. Depuis lors, hommes et femmes, garçons et filles veulent suivre leur propre voie et non celle de Dieu. Heureusement, l’histoire ne s’arrête pas là. Dieu a envoyé son Fils dans le monde sous la forme d’un être humain afin de réparer la rupture causée par le péché. Il nous a montré son amour en mourant sur la croix pour nos péchés, et dans l’Évangile, il nous appelle à aimer ceux qui nous entourent, même si nous ne sommes pas d’accord avec leurs choix. Cela inclut ceux qui sont confus quant à leur identité sexuelle.

 4 leçons pour les parents

 1. Reconnaître que la confusion des genres peut être biologique

Les deux dernières pages du livre s’adressent aux parents et entrent un peu plus dans le détail de la science qui sous-tend la dysphorie de genre. L’auteur explique en termes médicaux simples les différentes anomalies génétiques qui peuvent conduire à certaines de ces pathologies. Il est utile de s’en souvenir: toute confusion de genre n’est pas un choix.

 2. Préparer nos enfants pour le monde

J’ai entendu dire qu’il y a deux types de parents: ceux qui protègent leurs enfants du monde, et ceux qui préparent leurs enfants pour le monde. Avec l’aide de Dieu, mon mari et moi nous efforçons d’être ces derniers. Car, même si nous voulons protéger nos précieux bambins de la déchéance de ce monde, tôt ou tard, ils y seront confrontés de manière dramatique. Si vos enfants n’ont pas encore rencontré quelqu’un qui lutte avec son identité sexuelle, ils le feront bientôt, que ce soit un parent, un voisin ou une paire de mamans à l’école. Soyons proactifs en informant nos enfants sur le genre à partir d’une vision biblique du monde, plutôt que de laisser la culture les guider à cet égard.

 3. Promouvoir l’amour

Nous vivons à une époque où le slogan du mouvement LGBTQ+ est devenu « L’amour, c’est l’amour ». En réaction à cela, de nombreux chrétiens ont fait preuve d’un manque d’amour envers les membres de cette communauté. Beaucoup utilisent même le mot « abomination » pour désigner exclusivement le péché homosexuel, oubliant que d’autres péchés également qualifiés d’abominables sont « des yeux hautains, une langue mensongère et des mains qui versent le sang innocent, un cœur qui conçoit des plans mauvais, des pieds qui courent rapidement au mal, un faux témoin qui profère des mensonges, et celui qui répand des querelles entre frères » (Pr 6.16-19). Ne plaçons pas un péché au-dessus de tous les autres et, par conséquent, traitons certains hommes et femmes créés à l’image de Dieu comme des lépreux spirituels. Si Jésus a dîné avec des pécheurs et des collecteurs d’impôts, nous pouvons en faire autant. Aimons comme Jésus.

 4. Éviter les stéréotypes de genre

Il y a trente ans, ce livre n’aurait probablement pas été nécessaire. Les filles qui aimaient jouer au football à la récréation étaient appelées "tomboys" ("garçons manqués" en français), et ce n’était pas un terme péjoratif. Mais aujourd’hui, les stéréotypes de genre à l’intérieur et à l’extérieur de l’Église sont tout simplement néfastes pour nos enfants. Car plutôt que de les accepter comme moins masculins ou moins féminins que leurs pairs, la société dira à nos jeunes que s’ils ne se conforment pas à certaines normes culturelles, ils doivent être trans.

Il y a une génération, de nombreuses femmes fortes, affirmées et sportives comme moi qui auraient pu être étiquetées de la sorte. Et l’Église a parfois eu tendance à ajouter à cette confusion lorsqu’elle dit aux filles qu’elles doivent porter des robes, jouer à la poupée, être calmes, douces et mielleuses. Ou lorsqu’elle dit aux garçons qu’ils ne peuvent pas aimer jouer à la poupée ou danser, mais qu’ils doivent plutôt être durs, aimer le sport et la chasse, et être naturellement directs et autoritaires. Là où la Bible est silencieuse, nous devons l’être aussi. Machowski le dit si bien que j’aimerais conclure avec ses mots:

> Il nous faut fuir les stéréotypes des sexes qui sont traditionnellement associés à ce que fait le garçon ou ce qui fait la fille, et qui sont source de confusion pour les enfants qui ne rentrent pas « dans le moule. » Veillons à nous encourager et à nous édifier les uns les autres (voir 1Th 5.11)… Dieu donne au garçons et aux filles une diversité de talents et de dons. Veillons à ne pas taquiner ou se moquer des enfants qui ne correspondent pas à notre idée du comportement que devrait avoir un homme ou une femme.

Vous trouverez le livre Dieu a fait des garçons et des filles: Aider les enfants à comprendre que la différence des sexes est un don de Dieu, par Marty Machowski ici pour le Québec et ici pour l’Europe.

À l'automne 2022, 35 femmes de divers horizons se sont réunies autour de Zoom pour six semaines d'enseignement intense sur l'herméneutique (comment interpréter la Bible) et l'homilétique (comment enseigner la Bible). La littérature poétique telle qu'on la trouve dans le livre des Psaumes a servi de genre littéraire à explorer pour le cours. Chaque session comprenait de l'enseignement donné par l'une de nos enseignantes de la Bible expérimentée, des discussions en petits groupes et un court exposé d'un frère ayant des années de service dans le ministère (notamment notre cher Dominique Angers…

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Femmes chrétiennes, suivez ce cours d’enseignement textuel

À l'automne 2022, 35 femmes de divers horizons se sont réunies autour de Zoom pour six semaines d'enseignement intense sur l'herméneutique (comment interpréter la Bible) et l'homilétique (comment enseigner la Bible). La littérature poétique telle qu'on la trouve dans le livre des Psaumes a servi de genre littéraire à explorer pour le cours. Chaque session comprenait de l'enseignement donné par l'une de nos enseignantes de la Bible expérimentée, des discussions en petits groupes et un court exposé d'un frère ayant des années de service dans le ministère (notamment notre cher Dominique Angers, de TPSG).

 Le projet final: Donner un message textuel

Le projet final consistait à préparer et à donner un exposé sur un psaume désigné. Après avoir suivi les six semaines de cours, les femmes avaient un mois pour envoyer un manuscrit de leur leçon. Une fois les commentaires reçus et les corrections nécessaires effectuées, elles nous ont envoyé une vidéo dans laquelle elles donnaient leur enseignement. Nous avons sélectionné les trois femmes les plus douées pour être les conférencières de notre première conférence annuelle, le samedi 18 mars, organisée par SOLA: Femmes Scriptura (SFS), le ministère des femmes de SOLA.

 La demande continue

Depuis que nous avons organisé cet événement de formation en automne, nous avons reçu de nombreuses demandes de femmes intéressées de participer à un tel cours. C’est alors que notre équipe a eu l’idée de le rendre disponible toute l’année. La meilleure façon de profiter de cette ressource serait de s’inscrire avec un groupe d’amies afin de pouvoir bénéficier de la nature interactive du processus pendant les temps de discussion en petits groupes. Mais en l’absence d’un tel groupe, toute femme désireuse d’affiner ses compétences en tant qu’enseignante de la Bible pourrait profiter de ce cours.

 Une invitation spéciale

Si vous êtes une femme se sentant appelée à enseigner la Parole de Dieu aux femmes et aux enfants de votre Église, envisageriez-vous de suivre ce cours? Et si vous êtes un pasteur ou un responsable ayant à cœur de développer le ministère des enseignantes de votre Église, pourriez-vous penser à encourager un petit groupe à participer à cette formation?

 Inclus dans le cours

 Six sessions de 2 heures chacune (y compris les pauses pour les discussions en petits groupes).
 Un syllabus complet avec des devoirs de lecture ou d’écoute liés à chaque sujet abordé. Toutes ces ressources sont disponibles gratuitement en ligne, et des suggestions supplémentaires pour une étude plus approfondie sont incluses.
 Un coaching individuel par un membre de notre équipe d’enseignantes expérimentées de la Bible. Il s’agit d’une aide spéciale pour la réalisation du premier devoir, un manuscrit complet sur un texte donné et, une fois les modifications nécessaires apportées, un retour sur la vidéo réalisée.

Si vous ou un groupe de femmes que vous connaissez souhaitez participer à cette formation, veuillez me contacter par e-mail.

 Ensemble, ils vont répondre aux questions suivantes:

 Quels sont les domaines théologiques impactés par Jean Calvin?
 Pourquoi l’éthique protestante du travail est un sujet encore actuel?
 Sur quels textes de l’Écriture Jean Calvin a-t-il fondé son éthique protestante du travail?
 Comment cela a-t-il affecté la culture genevoise, puis la Suisse et celle des nations protestantes?
 Le capitalisme est-il une conception biblique du travail?
 Y a-t-il un choix à faire entre travailler dans le séculier, servir dans la mission, rester au foyer?

 Pour aller plus loin:

 Prédication de John Glass sur les 10 commandements…

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L’éthique protestante du travail selon Jean Calvin, avec John Glass

 Ensemble, ils vont répondre aux questions suivantes:

 Quels sont les domaines théologiques impactés par Jean Calvin?
 Pourquoi l’éthique protestante du travail est un sujet encore actuel?
 Sur quels textes de l’Écriture Jean Calvin a-t-il fondé son éthique protestante du travail?
 Comment cela a-t-il affecté la culture genevoise, puis la Suisse et celle des nations protestantes?
 Le capitalisme est-il une conception biblique du travail?
 Y a-t-il un choix à faire entre travailler dans le séculier, servir dans la mission, rester au foyer?

 Pour aller plus loin:

 Prédication de John Glass sur les 10 commandements

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Sa réponse a donc été une surprise pour moi. Sans sourciller, le missionnaire chevronné Tim Brannagan a déclaré:

> Quelles sont les qualités les plus importantes chez un missionnaire? La flexibilité et le sens de l’humour.

 L’appel particulier du missionnaire

Si cette réponse vous surprend autant qu’elle m’a surpris, permettez-moi de vous expliquer. Au fil des années, j’ai compris à quel point la réponse de Tim était perspicace. Et pour être claire, il ne suggérait pas que le caractère pieux et la formation théologique sont sans importance. Ces qualités sont requises de tout croyant, et en particulier de tout…

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Quelles sont les qualités les plus importantes chez un missionnaire?

Sa réponse a donc été une surprise pour moi. Sans sourciller, le missionnaire chevronné Tim Brannagan a déclaré:

> Quelles sont les qualités les plus importantes chez un missionnaire? La flexibilité et le sens de l’humour.

 L’appel particulier du missionnaire

Si cette réponse vous surprend autant qu’elle m’a surpris, permettez-moi de vous expliquer. Au fil des années, j’ai compris à quel point la réponse de Tim était perspicace. Et pour être claire, il ne suggérait pas que le caractère pieux et la formation théologique sont sans importance. Ces qualités sont requises de tout croyant, et en particulier de tout ouvrier chrétien. Mais la nécessité de ces qualités chez un missionnaire réside dans son appel unique à travailler de manière interculturelle.

Lorsque nous traversons des frontières culturelles et linguistiques pour apporter l’Évangile aux nations, nous devons nous soumettre volontairement aux normes qui régissent notre culture d’accueil. Au cours du processus d’adaptation, nous pouvons nous surprendre à penser ou même à dire à haute voix: « Pourquoi font-ils les choses de cette façon? Si seulement ils faisaient les choses comme chez nous! » Cette posture, cependant, ne fait qu’engendrer le mécontentement et peut facilement conduire à l’orgueil qui, s’il n’est pas contrôlé, deviendra évident pour les autochtones avec lesquels nous interagissons.

 Jésus le missionnaire

Au cours de son ministère terrestre, notre Seigneur Jésus lui-même a donné l’exemple de la manière de vivre en tant qu’étranger. Il s’est humilié en quittant le ciel, sa patrie, pour vivre dans un monde déchu. Il s’est soumis aux institutions terrestres, même s’il était souverain sur tout. Et il l’a fait pour une seule raison: pour sauver l’humanité pécheresse.

 Paul le missionnaire

L’apôtre Paul, de la même manière, s’est fait tout à tous afin d’en gagner certains (1Co 9.19-23). Aux Juifs, il a prêché Christ comme l’accomplissement des Écritures hébraïques (Ac 13.14-52). Aux païens, il a prêché Christ comme le Créateur et le Maître de la vie (Ac 17.22-34). Ce faisant, il a adapté son approche en fonction de son auditoire, afin que son message soit mieux compris et reçu. Comme c’était le cas pour Jésus, l’objectif de Paul était le salut des perdus.

 Pourquoi la flexibilité et le sens de l’humour?

Alors, pourquoi la flexibilité et le sens de l’humour sont-ils essentiels pour ceux qui sont appelés à exercer un ministère interculturel? Parce que les choses ne se dérouleront pas toujours comme prévu. Et lorsque cela se produit, nous devons être capables d’en rire. Sinon, nous risquons d’en vouloir à ceux parmi lesquels nous vivons plutôt que de les aimer.

 Mon expérience personnelle

Ayant servi comme missionnaire au cours des 15 dernières années, je parle par expérience. J’ai dû faire face à de nombreux défis, qu’il s’agisse de faire des erreurs dans l’apprentissage du wolof, de devoir faire la cuisine ou de prendre un bain en cas de coupures d’électricité ou d’eau prolongées, ou encore de voir un ami musulman essayer de caser mon mari avec une deuxième femme! Il n’était pas toujours facile de garder une attitude positive, surtout lorsque ce dernier scénario s’est produit!

Au début de notre décennie de service au Sénégal, notre responsable d’équipe Kwashie a partagé l’anecdote suivante avec mon mari Dan et moi:

> Chaque fois que je suis en difficulté lorsque les choses ne vont pas dans mon sens, je me rappelle que le gouvernement sénégalais ne m’a pas lancé une invitation spéciale pour que je vienne ici. Au contraire, c’est moi qui ai choisi de m’installer dans ce pays. C’est à moi de m’adapter plutôt que d’attendre que les Sénégalais changent pour moi.

Je me suis répété les mots de Kwashie à de nombreuses reprises au fil des ans, ce qui s’est avéré être un rappel utile pour mon cœur égoïste.

 Le rire: Le meilleur remède

Alors, que vous envisagiez de servir à l’étranger ou que vous connaissiez un missionnaire qui aurait besoin d’être encouragé, soyons humbles comme notre Seigneur, renonçons à notre désir de contrôler notre environnement et apprenons à ne pas nous prendre trop au sérieux. Le rire peut s’avérer être le meilleur remède.

 Ils répondent ensemble aux questions suivantes:

 Quel était le début de la vie de Jean Calvin? Où est-il né? Dans quel genre de famille a-t-il grandi? Qu’a-t-il étudié?
 Comment Jean Calvin est-il venu à la foi en Christ tel que nous le comprenons?
 Comment Jean Calvin a-t-il réussi à s’en sortir avec sa vie (tout comme Luther), alors que tant de pré-réformateurs en herbe (Hus, Wycliffe, etc.) et de protestants de son époque ont été tués par le martyre? Avait-il un prince ou un dignitaire puissant pour le protéger, comme…

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Jean Calvin et la Réforme protestante, avec John Glass

 Ils répondent ensemble aux questions suivantes:

 Quel était le début de la vie de Jean Calvin? Où est-il né? Dans quel genre de famille a-t-il grandi? Qu’a-t-il étudié?
 Comment Jean Calvin est-il venu à la foi en Christ tel que nous le comprenons?
 Comment Jean Calvin a-t-il réussi à s’en sortir avec sa vie (tout comme Luther), alors que tant de pré-réformateurs en herbe (Hus, Wycliffe, etc.) et de protestants de son époque ont été tués par le martyre? Avait-il un prince ou un dignitaire puissant pour le protéger, comme Luther?
 Calvin avait-il un verset ou un passage de sa vie qui définissait son ministère? On pense à Luther et à la façon dont sa compréhension de Romains 1.17 a été déterminante pour sa conversion et sa vision ultérieure de la nature de la justification.
 Que pouvez-vous nous dire sur le mariage de Jean Calvin? De sa famille? Sa femme était-elle impliquée dans son ministère? (On pense à Katarina von Bora et à la façon dont elle a contribué au succès de Luther en gérant l’auberge et la ferme qu’ils partageaient et qui est devenue un centre de formation).
 Pourquoi pensez-vous qu’il est important pour les croyants d’étudier la Réforme en général, et de connaître la vie de Jean Calvin en particulier? Comment le fait de découvrir son histoire et celle d’autres réformateurs peut-il nous aider à connaître la Bible et à servir Christ?

 Pour aller plus loin:

 Visites guidées sur la Réforme à Genève avec John Glass
 « The Legacy of John Calvin and His Impact on the Modern World » de David W.Hall

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Angie: 

Alors, parle-nous de ton projet de colocation chrétienne intentionnelle. Qu’est-ce que c’est exactement?

Elisabeth:

Nous sommes cinq filles qui habitons au rez-de-chaussée et au sous-sol d’un triplex à Montréal appartenant à un couple chrétien. Nous sommes tous membres de l’Église du Plateau Mont-Royal, qui se situe dans le quartier le plus francophone de Montréal (qui est une ville bilingue). Dans le quartier, environ 30% des habitants sont d’origine française, et seulement environ 0,4% s’identifient comme évangéliques et environ 55% se disent non-religieux. Notre maison n’est pas loin de ce…

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Jeune femme: et si vous faisiez un an de formation au Québec?

Angie: 

Alors, parle-nous de ton projet de colocation chrétienne intentionnelle. Qu’est-ce que c’est exactement?

Elisabeth:

Nous sommes cinq filles qui habitons au rez-de-chaussée et au sous-sol d’un triplex à Montréal appartenant à un couple chrétien. Nous sommes tous membres de l’Église du Plateau Mont-Royal, qui se situe dans le quartier le plus francophone de Montréal (qui est une ville bilingue). Dans le quartier, environ 30% des habitants sont d’origine française, et seulement environ 0,4% s’identifient comme évangéliques et environ 55% se disent non-religieux. Notre maison n’est pas loin de ce quartier, nous cherchons donc à vivre comme une petite famille intentionnelle en mission.

Nous voulons aussi être plus que des colocataires ordinaires, et profiter des défis et des joies de la vie quotidienne pour progresser en tant que disciples de Jésus, et ce dans le contexte de notre Église locale.

Angie:

De quelles façons vous encouragez-vous à grandir? 

Elisabeth:

Les trois volets de croissance sur lesquels nous nous concentrons sont:

1.  l ‘approfondissement de notre relation personnelle avec Dieu
2.  l’expérience de l’Évangile entre colocataires
3.  le partage de l’Évangile avec les gens autour de nous.

Au début de l’année, nous faisons une retraite ensemble dans un chalet pour bien démarrer l’année et nous fixer des objectifs selon ces trois volets de croissance. Évidemment, nous nous fixons des objectifs spirituels, mais nous considérons également des objectifs au niveau de la santé émotionnelle, de la vie scolaire et des relations, entre autres.

Ensuite, au cours de l’année, nous nous tenons redevables dans notre progression. Au besoin, nous modifions les objectifs à la mi-année. Vers la fin de l’année scolaire, nous faisons une seconde retraite pour évaluer l’année et l’accomplissement de nos objectifs. 

Angie:

Certaines d’entre vous sont étudiantes, d’autres travaillent. Comment trouvez-vous le temps pour vous voir?

Elisabeth:

Effectivement, chacune a ses occupations personnelles, donc le projet est un ajout à nos horaires. Néanmoins, nous trouvons assez de temps pour être ensemble. La majorité de nos activités sont spontanées, comme des soirées jeux de société avec nos propriétaires (la famille chrétienne qui vit au deuxième étage), ou des soirées films. Nous sommes devenues comme des sœurs, et nous aimons passer du temps ensemble!

Nous cherchons aussi à prendre du temps environ une fois par mois pour faire une activité spéciale entre nous, afin de consolider nos liens. Parfois nous faisons une sortie au restaurant, une fois nous sommes allées au Jardin botanique et à quelques reprises nous sommes allées voir un spectacle de l’une de nos colocs.

Nous avons aussi un repas par semaine lors duquel nous prenons de nos nouvelles, évaluons notre progression dans l’atteinte de nos objectifs et prions les unes pour les autres. Environ tous les mois, nous évaluons également les dernières semaines en termes de logistique, de projets missionnaires, d’activités ensemble et d’hospitalité.

La communication, c’est extrêmement important, donc nous nous assurons d’avoir un espace et un temps à part pour être transparentes ensemble, et être là les unes pour les autres.

Angie:

Vous habitez dans une maison, alors vous vous organisez comment pour vous en occuper?

Elisabeth:

Qui dit maison dit tâches ménagères! Tout le monde met la main à la pâte, parce que c’est ça être une famille. Au début de chaque session, nous répartissons les diverses tâches entre nous, telles que le ménage de la cuisine, celui de la salle de bain ou la préparation de collations pour la semaine. Nous avons aussi un calendrier pour déterminer qui fait les courses pour la semaine.

Nous partageons les repas, donc chacune cuisine un soir par semaine et s’assure qu’il y ait des restants pour nos repas du midi du lendemain. Nous trouvons que ce système allège beaucoup la charge de travail de chacune et contribue aussi à l’esprit communautaire. 

Angie:

Wow, vous mangez toutes la même chose! Est-ce que parfois c’est compliqué en cas de restrictions alimentaires ou de goûts personnels?

Elisabeth:

C’est vrai que ce n’est pas toujours simple, car nous n’avons pas toutes été élevées de la même façon. Mais j’ai trouvé que lorsque nous choisissons de sortir de notre zone de confort dans la quête de ressembler plus à Jésus, il nous apprend à être flexibles.

Nous nous adaptons aux restrictions alimentaires de chacune, et même notre régime actuel est principalement végétarien, sans gluten et sans lactose! Toutefois, cet ajustement a été une source d’apprentissage pour plusieurs, et même de découvertes. Parfois, nous préparons des variantes au repas principal pour accommoder les besoins particuliers, sans imposer les restrictions à toutes.

Angie:

Tu as mentionné le volet missionnel de votre maison. À quoi ça ressemble?

Elisabeth:

Nous pratiquons beaucoup l’hospitalité, ayant régulièrement des gens à la maison pour un repas, pour dormir ou pour des activités. Toutefois, la plupart de mes colocs sont des introverties, et donc nous respectons aussi le besoin de chacune de recharger ses batteries en demandant la permission chaque fois que nous voulons inviter quelqu’un. 

Parfois nous organisons des projets saisonniers, comme la distribution de biscuits et de cartes de Noël auprès de nos voisins ou bien l’organisation de notre halte des lumières à Halloween, lors duquel nous servons du chocolat chaud aux visiteurs (y compris les parents!), jouons des jeux avec les enfants et leur offrons des Bibles mangas. Nous voulons que la maison soit un lieu ouvert où tous nos invités sont les bienvenus, peu importe où ils sont dans leur cheminement avec Dieu. 

Angie:

Quel genre de fille cherches-tu pour participer à ce projet?

Elisabeth:

Je dis toujours que j’ai seulement trois critères:

Tout d’abord, je cherche une jeune femme qui est prête à s’engager. Je préfère dire aux gens dès le départ qu’il s’agit d’un projet qui exige un certain niveau de disponibilité pour bien profiter de tous les aspects de la colocation et de la croissance que Dieu veut faire dans nos vies.

Ensuite, je cherche une personne qui est enseignable, humble et prête à travailler sur elle. Même si elle n’est pas parfaite (personne ne l’est!), j’ai énormément d’espoir pour une jeune femme qui veut grandir et chercher de l’aide dans ses défis.

Et enfin, je cherche une femme qui aime Jésus et veut lui obéir. Cela va se démontrer par un attachement à l’Évangile, un amour pour l’Église locale et un fardeau pour les perdus.

Angie:

Si une jeune femme désire poser sa candidature, que doit-elle faire?

Elisabeth:

Si elle est prête à s’engager dans le projet de juillet 2023 jusqu’à juillet 2024, quelle correspond aux critères ci-dessus et qu’elle est prête à s’intégrer à l’Église du Plateau Mont-Royal, je l’inviterais à discuter de ce projet avec son coach, mentor ou pasteur, si possible. Si elle reçoit leur appui, je lui demanderai alors de nous envoyer une lettre de recommandation de leur part par mail en cliquant ici.

Angie:

Je lance donc l’invitation à tous mes lecteurs et lectrices: si tu es (ou si tu connais) une jeune femme qui a envie de vivre l’expérience montréalaise avec des filles comme Elisabeth et ses colocs, engagées dans leur foi, je t’invite à considérer de participer à ce projet!