Au commencement

Ce petit manuel sur la prière s'ouvre sur le jardin. Dans toute l'histoire de l'humanité, aucun autre lieu ou moment n'a permis une telle communion sans entrave avec Dieu. Mais lorsque le péché est entré dans le monde, il a brisé la liberté dont jouissaient nos premiers parents. Le péché a rendu la prière difficile, mais pas impossible.

L'invitation demeure

Dieu a rappelé à son peuple que l'invitation restait ouverte pour qu'il vienne à lui à tout moment et en tout lieu. C'est ce qu'il a fait. Wilfer explique qu'ensuite, Dieu a envoyé son Fils dans le monde. Il a enseigné à son peuple à prier par son exemple de dépendance et de communion avec le Père, ainsi que par ses instructions sur la prière (le Notre Père).

Après sa mort, sa résurrection et son ascension, poursuit-elle, Jésus a envoyé son Saint-Esprit comme il l'avait promis. Et il nous conduit à prier comme le faisaient les saints de l'Ancien Testament. Mme Wolfer présente divers scénarios dans lesquels nous pouvons parler à Dieu. À tout moment. N'importe où. Que nous demandions la guérison d'un ami malade ou que nous nous réveillions d'un rêve effrayant. Que nous soyons dans la voiture ou dans notre chambre, avec des amis et de la famille, ou tout seul.

Wilfer conclut avec la meilleure nouvelle qui soit: Un jour, Jésus reviendra et nous vivrons avec lui dans un monde parfait et merveilleux où nous pourrons lui parler face à face, comme Adam et Ève l'ont fait. Et pendant que nous attendons, pourquoi ne pas lui parler dès maintenant? Quelle fin appropriée pour un livre sur la prière! Une invitation à faire exactement cela.

Une représentation de tous les enfants de Dieu

Comme c'est souvent le cas dans ses livres pour enfants, Echeverri dépeint des familles d'origines ethniques et culturelles diverses. Elle montre également un garçon en fauteuil roulant qui prie dans les toilettes et une fille à mobilité réduite qui part à l'aventure avec son père. J'imagine des petits enfants lisant ce livre avec leurs parents et faisant joyeusement remarquer: “Ça me ressemble!”

Conclusion