Dans ce quatrième billet sur un total de six, nous réfléchissons à ce qui fait le bonheur des chrétiens, à partir du Psaume 32.
Aujourd’hui, je publie ce canevas sur mon blog, car il peut aussi servir de support à la simple méditation de l’Écriture: pourquoi ne pas relire ces textes bibliques, au cours des prochaines semaines, en utilisant les pistes proposées ici comme des aides à la méditation et à l’appropriation de la Parole?
Nos contemporains sont en quête perpétuelle de joie et de satisfaction. L’Écriture ne conteste pas l’importance de tels bienfaits. Néanmoins, elle situe leur source à des endroits inattendus, tout en élevant leur qualité à un niveau inespéré.
Une prédication sur le psaume 32 peut propulser l’Église au cœur de l’expérience du chrétien. En effet, elle est l’occasion de rappeler que la plus grande joie qui existe est celle du pécheur pardonné (par Dieu!). Cela implique qu’un passage obligé, pour accéder à ce bonheur divin, est l’humble confession des péchés, dont à laquelle nous sommes trop souvent portés à résister.
Qui plus est, ce bonheur ne vient pas seul: il s’accompagne de protection divine (versets 6-7, 10), d’instruction claire (versets 8-9), de sérénité fondée sur la bienveillance de Dieu (verset 10) et d’exultation communautaire (verset 11).