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Je me suis dit que ça pourrait intéresser d’autres que j’en parle sur ce blog chrétien. Après tout on croit que Dieu accorde de la sagesse extraordinaire à des hommes et des femmes qui le rejettent. Voici donc pour commencer 5 livres que je recommande:

 The Lean Startup (Eric Ries)

L’idée centrale de ce livre est géniale. Ce livre influence tous les nouveaux projets sur TPSG, dans notre implantation d’Église et dans mes projets perso (je développe ça plus bas). Et j’ai même jamais terminé le livre!

 Ce que je retiens de ce livre

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Ce que je retiens du livre…

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5 livres de business et leadership qui m’ont influencé cette année

Je me suis dit que ça pourrait intéresser d’autres que j’en parle sur ce blog chrétien. Après tout on croit que Dieu accorde de la sagesse extraordinaire à des hommes et des femmes qui le rejettent. Voici donc pour commencer 5 livres que je recommande:

 The Lean Startup (Eric Ries)

L’idée centrale de ce livre est géniale. Ce livre influence tous les nouveaux projets sur TPSG, dans notre implantation d’Église et dans mes projets perso (je développe ça plus bas). Et j’ai même jamais terminé le livre!

 Ce que je retiens de ce livre

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Ce que je retiens du livre c’est le concept du “MVP” (_minimum viable product_ \[“produit minimum viable”\]).

Beaucoup de grandes entreprises investissent beaucoup d’argent et beaucoup de temps à créer des produits sans être sûres qu’il correspond à un besoin des clients. Mais elles peuvent se le permettre, elles sont après tout des _grandes_ entreprises.

Comment faire par contre quand on est une petite start-up (ou une petite association chrétienne)? C’est là que le concept du MVP change tout.

Au lieu de passer plein de temps à développer un produit, Eric Ries conseille de faire comme les startups les plus innovantes du moment. Elles créent rapidement un produit minimaliste. Il ne contient que les germes du produit qu’on rêverait de créer.

Cette création rapide d’un produit loin d’être parfait permet de rapidement avoir des retours de “clients” (qu’ils soient payants ou non).

Par exemple, au lieu d’investir 3000€ et des centaines d’heures de bénévoles pour tourner une formation à l’interprétation de la Bible, pourquoi pas créer un webinaire d’un soir pour voir comment les utilisateurs réagissent aux formations en ligne? Ou au lieu de créer une formation complète à un logiciel biblique professionnel, pourquoi pas plutôt créer une beta formation en quelques heures et voir s’il y a une demande? Encore mieux, pourquoi pas même juste faire une pré-vente sans même avoir créé le moindre tutoriel?

Les trois exemples cités sont tous les trois des choses réalisées en 2016, grâce à la lecture de ce livre!

\==> Ce livre existe en anglais ici et a été traduit en français ici .

 La semaine de 4 heures (Timothy Ferriss)

Un bon livre au titre provocant et souvent mal compris. Mais c’est aussi un livre à lire avec précaution.

 Ce que je retiens de ce livre

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Tout est dans le titre. Un excellent titre au passage, n’écoutez pas les critiques.

Ferriss n’est pas en train de dire que nous devrions travailler que 4 heures par semaine, ni que son livre nous le permettra. Ce qu’il propose c’est de travailler mieux: d’appliquer le principe de Pareto à notre travail.

Dit simplement, il s’agit de faire le point et de voir quelles sont les 20% des choses que nous faisons qui produisent les 80% de nos résultats et d’arrêter, déléguer ou sous-traiter les 80% des autres choses que nous faisons dans une semaine et qui ne produisent que 20% de nos résultats.

Lu juste pour cela, _La semaine de 4 heures_ est un formidable livre pour vivre une vie plus saine où on travaille pour ce qui est vraiment important.

Mais Tim Ferriss ne s’arrête pas là. Le reste de son livre est consacré à comment vivre la vie de vos rêves en travaillant peu et en vivant n’importe où dans le monde. Il montre notamment comment créer des sources de revenus en ligne qui peuvent vous permettre de vivre des ces revenus passifs. Comme vous pouvez vous imaginer, j’ai beaucoup plus de réserves sur cette deuxième partie du livre.

La vision du monde de Timothy Ferriss est hédoniste et égocentrique. Je devais par exemple rester vigilant en le lisant pour ne pas être jaloux de son style de vie (voyages, confort, aventure). En tant que chrétien, j’ai un appel de Dieu à suivre Jésus, glorifier Dieu et aimer ma ville par les dons qu’il m’a donné. A aucun moment Dieu nous promet dans cette vie une vie facile, confortable ou opulente.

Autre exemple de faiblesse du livre, l’accent de Ferriss sur le travail à haute valeur ajoutée. Cela peut vraiment décourager les professions hautement relationnelles (et très importantes) comme les professions de la santé, de l’éducation (et les évangélistes et pasteurs). Sans mentionner le fait que Ferriss n’est pas en train de nous encourager à chercher des professions utiles pour notre société, mais juste à créer des sources de revenus pour vivre sur une plage quelque part.

Je recommande néanmoins le livre. Il y a beaucoup de bons conseils et j’aimerais voir plus d’entrepreneurs chrétiens apparaître dans nos Églises.

\==> Ce livre existe en anglais ici et a été traduit en français ici .

 Launch (Jeff Walker)

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Sans doute le livre qui a eu le plus grand impact dans ma vie d’entrepreneur en 2016. Étant jeune pasteur d’une jeune implantation d’Église, je voulais avoir des revenus secondaires. Ce livre m’a donné les méthodes pour faire cela.

Le livre est simple. Jeff Walker a inventé ce qu’on appelle une méthode de lancement orchestré. C’est une manière brillante de lancer un nouveau produit quand on n’a pas de budget de lancement.

J’ai suivi à la lettre sa méthode et j’ai eu un lancement de produit qui a dépassé mes attentes les plus folles. Vous pouvez voir ce que j’ai créé. Ça s’appelle _Maîtrisez Logos en 30 jours_ , c’est une formation payante au logiciel biblique professionnel _Logos_.

Franchement toute association chrétienne qui veut glorifier Dieu par des produits solides qui se vendent en grande quantité devrait prendre le temps de lire un livre comme celui-ci.

Ça m’attriste tellement de voir que les évangéliques les meilleurs en marketing sont souvent les plus mauvais en théologie.

\==> Ce livre existe en anglais ici.

 Turn the Ship Around! (L. David Marquet)

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Un très bon petit livre de leadership. Le capitaine Marquet a une “success-story” étonnante.

Contre toute attente, le capitaine David Marquet est appelé à prendre le commandement du sous-marin (et l’équipage) le plus mal noté de toute la flotte du pacifique. Dès son arrivée il entreprend la refonte complète de la culture à bord. En l’espace d’un an, son sous-marin est passé de dernier à premier de la flotte!

Son secret est de transformer les suiveurs en leaders. On retrouve ici la notion si chère à tant d’américains, le « _empowering_ » (un mot quasi intraduisible). Mais là où pour beaucoup ce n’est qu’un cliché, Marquet pratique vraiment ce qu’il prêche.

Dans la culture très conservatrice de la navy US il donne à des matelots l’autorité nécessaire pour réellement devenir des leaders. Son livre est plein de sagesse (et de grâce commune).

\==> Ce livre existe en anglais ici.

 My life in Advertising & Scientific Advertising (Claude C. Hopkins)

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Même si je n’ai pas relu ces deux livres l’année dernière, j’ai enfin acheté mes propres exemplaires. Je les ai lus alors que j’avais 15 ou 16 ans (merci maman de m’avoir fait lire ces livres!).

Ils ont été en arrière plan de beaucoup de mes choix et conseils en business et marketing l’année dernière. Ces livres devraient être obligatoires pour tout marketeur et surtout pour toute association chrétienne qui consacre un budget à la publicité. Trop d’argent est gaspillé par les chrétiens chaque année qui ignorent les thèses de Hopkins.

\==> Ce livre existe en anglais ici.

J’espère que cette liste vous plait. N’hésitez surtout pas à me poser des questions dans les commentaires ou à me conseiller d’autres livres.

_Et toi? Qu’as-tu lu de bon récemment? Dis-le moi dans un commentaire!_

1. Une question de statistique. C’est probablement la raison qui saute aux yeux en Jacques 3. L’enseignement requiert l’utilisation d’un des outils les plus traitres au monde: la langue. Les enseignants parlent plus que les auditeurs et donc statistiquement, ils diront plus de bêtises. La Bible enseigne que “toute parole vaine sera jugée” (Mt 12.36). C’est certainement entre autre pour ça que Jacques conseille d’écouter beaucoup et d’être lent à parler et à se mettre en colère (Jc 1.19).
2. Une question de conséquences. Les paroles d’enseignants ont des conséquences dans la vie des autres. Celui qui fait trébucher un…

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Pourquoi nos enseignants seront-ils jugés plus sévèrement?

1. Une question de statistique. C’est probablement la raison qui saute aux yeux en Jacques 3. L’enseignement requiert l’utilisation d’un des outils les plus traitres au monde: la langue. Les enseignants parlent plus que les auditeurs et donc statistiquement, ils diront plus de bêtises. La Bible enseigne que “toute parole vaine sera jugée” (Mt 12.36). C’est certainement entre autre pour ça que Jacques conseille d’écouter beaucoup et d’être lent à parler et à se mettre en colère (Jc 1.19).
2. Une question de conséquences. Les paroles d’enseignants ont des conséquences dans la vie des autres. Celui qui fait trébucher un autre est jugé plus sévèrement (Lc 17.1-2): « Jésus dit à ses disciples: Il est impossible qu’il n’arrive pas des scandales; mais malheur à celui par qui ils arrivent! Il vaudrait mieux pour lui qu’on mette à son cou une pierre de moulin et qu’on le jette dans la mer, que s’il scandalisait un de ces petits.” NOTE: Paul annonçait et l’histoire de l’Église l’atteste: Les attaques de Satan contre le peuple de Dieu passent très souvent par des enseignants aux “enseignements pervertis” (Ac 20.30).
3. Une question de responsabilité. L’enseignant est responsable de ses auditeurs. S’il ne dit pas tout le conseil de Dieu, il devra rendre des comptes à Dieu. La Bible enseigne cela dans ce que dit l’apôtre Paul aux anciens d’Éphèse:. Il dit être “pur du sang de vous tous, car je vous ai annoncé tout le plan de Dieu sans rien en cacher.” (Ac 20.26-27). L’enseignement est une lourde responsabilité. Si l’enseignant oublie un aspect du plan de Dieu, le traite de façon déséquilibrée, ou l’évite exprès, la Bible enseigne qu’il est responsable du sang de ses auditeurs.
4. Une question de connaissances. Par son enseignement, le prédicateur montre qu’il connaît les exigences de Dieu, Dieu exigera donc plus de lui (Mc 4.24; Lc 12.47-48; Rm 2.1; cf. aussi Lc 6.37-38). De même, le prédicateur est appelé à dénoncer le péché, à exhorter à la vie de sainteté. S’il y a hypocrisie, la Bible enseigne qu’il sera jugé plus sévèrement (Lc 12.40).

Tout ça peut sembler bien lourd à porter. Et c’est le cas.

Si vous êtes régulièrement enseigné par des prédicateurs, avez-vous prié aujourd’hui pour vos enseignants? Priez que Dieu les garde fidèle et les donne toute la sagesse nécessaire pour leur tâche.

Si vous êtes prédicateur ou si vous avez une responsabilité d’enseignement dans l’Église, priez que Dieu vous fasse quotidiennement ressentir tout le poids de la responsabilité qu’est la vôtre. Enseigner n’est pas quelque chose qu’on prend à la légère. C’est pour cela que Jacques exhorte les frères à ne pas être nombreux à enseigner. Et quand vous ressentez bien lourdement la responsabilité de votre charge, priez ensuite que Dieu vous donne chaque jour sa grâce pour enseigner fidèlement et avec joie tout le conseil de Dieu.

Les quatre vidéos sont en anglais, mais j’ai fait des résumés de mon écoute à chaque clip. Piper mène l’interview et Keller donne la plupart des réponses. En fin d’article, je recommande d’autres ressources sur Lewis.

 L’influence de C. S. Lewis dans leur vie



Keller explique comment il décrit Lewis à quelqu’un à New York qui n’en a jamais entendu parler. C. S. Lewis était un expert mondial sur la littérature anglaise. Son introduction à la littérature du 16ᵉ siècle est encore incontournable. En parallèle de cela, il était un chrétien qui expliquait le christianisme de façon remarquable et qui…

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Tim Keller et John Piper parlent de C. S. Lewis

Les quatre vidéos sont en anglais, mais j’ai fait des résumés de mon écoute à chaque clip. Piper mène l’interview et Keller donne la plupart des réponses. En fin d’article, je recommande d’autres ressources sur Lewis.

 L’influence de C. S. Lewis dans leur vie



Keller explique comment il décrit Lewis à quelqu’un à New York qui n’en a jamais entendu parler. C. S. Lewis était un expert mondial sur la littérature anglaise. Son introduction à la littérature du 16ᵉ siècle est encore incontournable. En parallèle de cela, il était un chrétien qui expliquait le christianisme de façon remarquable et qui encore aujourd’hui n’a pas perdu sa pertinence.

Keller raconte comment il a été introduit aux livres de Lewis. C’est Kathy, sa copine de l’époque (qui devient plus tard sa femme), qui l’a fait comprendre qu’il devait lire du Lewis, s’il comptait commencer une relation avec elle. Elle s’est converti en lisant les Chroniques de Narnia.

Lewis était professeur dans les deux plus grandes universités du monde. De là, il a pu anticiper le post-modernisme (cf. L’abolition de l’homme). Son regard sur la culture était tout simplement incroyablement pertinent. C’était aussi un penseur capable de communiquer de façon très imagée. Keller explique aussi comment Lewis a influencé sa façon de répondre aux questions sous-entendues derrière la question posée. Lewis est un de ceux qui l’a aidé à voir, par exemple, que la technologie est une idole moderne.

 Quand les opposés se rencontrent



Piper témoigne qu’il a toujours été attiré par les penseurs qui combinent ce qui est habituellement considéré comme contradictoire: C. S. Lewis est un exemple, un biographe l’appelle le Logicien-romantique. Comment se fait-il qu’il a été ce genre d’homme capable d’être si rigoureux et si sensible artistiquement? Keller ne sait pas comment répondre, mais suppose que c’est l’éducation de Lewis qui est en grande partie responsable. Son éducation l’obligea d’avoir une raison pour tout. Il y a un super chapitre dans Surpris par la joie sur sa première rencontre avec son tuteur qui est super exigeant. Ce Lewis-là était rationnel, mais il était aussi un poète.

Comment faire pour créer de tels personnes encore aujourd’hui? Il faudrait que nos prédications combinent un langage très illustré et très logique. Comment Keller a-t-il fait pour aimer d’un côté Lewis et de l’autre côté certains des grands théologiens réformés et les puritains? Il a d’abord développé un amour pour Lewis, et a ensuite été convaincu par la beauté de la systématique de la théologie calviniste. Les deux amours peuvent sembler contradictoires, puisque Lewis n’aimait pas le calvinisme et les puritains, bien qu’il respecte ces derniers, mais ils ont grandi sans étouffer l’autre.

 Aurions-nous été amis?



Dur de répondre à cette question. Il était très intimidant de par sa logique. Il pouvait être considéré brutal à cause de son argumentation implacable. Mais ce n’était pas un légaliste. Il était très généreux avec les gens. Il avait tendance à voir le meilleur dans les gens (tout le contraire de Tolkien, son ami).

En même temps, Keller et Piper soulignent combien Lewis  avoir une théologie douteux sur certains points. Lewis en particulier disait que George Macdonald avait été l’homme a influencé chaque page de ses écrits. Keller fait remarquer que Macdonald n’était probablement même pas un arminien, mais plutôt un pélagien. Il avait une compréhension très non biblique de l’œuvre de Jésus à la croix.

 Livres préférés de Keller chez Lewis et pourquoi le lire



Quoi lire chez Lewis? Tout vaut la peine d’être lu. Keller recommande ses petits essais. Il y a de nombreuses perles dans ses écrits moins connus. Jonathan Edwards était le roi de l’image, alors que Lewis est le roi de l’illustration de vérités chrétiennes. C’est important de savoir faire ça en tant que chrétien et en tant que prédicateur.

Où commencer chez Lewis? Keller propose l’échantillon suivant: Les fondements du christianisme, Tactique du diable, Le grand divorce, Les chroniques de Narnia, L’abolition de l’homme. C’est un bon mélange pour voir la palette des styles et des genres que Lewis maniaient.

 Pour aller plus loin:

 Qui était C. S. Lewis?
 Pourquoi C. S. Lewis est encore si populaire 50 ans après sa mort?
 Lewis et Tolkien débattent de mythes et de mensonges
 La valeur infinie de chaque individu selon C. S. Lewis (et selon la Bible!)

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C’est anecdotique peut-être, mais j’ai trouvé remarquable que Tim et non le ministère pastoral soit ressorti comme le grand problème dans leur couple (selon ses dires). Ou formulé dans une question: Comment avoir un couple de tonnerre dans le ministère? Réponse: ne pas épouser Tim.

Sans plus attendre, voici la vidéo de l’interview. À regarder un soir avec son épouse, bien évidemment!





MÀJ du 20/08/2014: Merci à Charlotte d’avoir noté les questions et la séquence de cette vidéo:

 0:40: Pourquoi se marier? Le fait de s’aimer ne suffit-il pas?
 4:15: Concevoir les rôles dans…

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Comment être dans le ministère pastoral et avoir un mariage du tonnerre

C’est anecdotique peut-être, mais j’ai trouvé remarquable que Tim et non le ministère pastoral soit ressorti comme le grand problème dans leur couple (selon ses dires). Ou formulé dans une question: Comment avoir un couple de tonnerre dans le ministère? Réponse: ne pas épouser Tim.

Sans plus attendre, voici la vidéo de l’interview. À regarder un soir avec son épouse, bien évidemment!





MÀJ du 20/08/2014: Merci à Charlotte d’avoir noté les questions et la séquence de cette vidéo:

 0:40: Pourquoi se marier? Le fait de s’aimer ne suffit-il pas?
 4:15: Concevoir les rôles dans le couple et réconcilier les différences: quels conseils donner à de jeunes couples pour qu’ils puissent progresser dans la compréhension et l’acceptation des différences et des rôles?
 19:19: Quels impacts positifs et négatifs de votre arrivée à New York pour l’implantation de l’Église Redeemer sur votre vie de couple?
 27:00: Quels conseils donneriez-vous donc aux couples qui sont confrontés à ces tensions, à ces pressions et parfois aux attentes des membres d’église?
 31:07: Comment est-ce que vous avez fait avec vos enfants, quand ils étaient petits, lorsqu’il y avait donc l’obligation de s’occuper des enfants? Comment les avez-vous protégés contre les contraintes du ministère?
 38:00: Quels conseils donner à des familles qui ont des enfants dans de plus petites églises où leurs enfants sont fréquemment 10 ou 20% du travail parmi les enfants ou les jeunes?
 43:21: (question à Kathy) Est-ce que vous avez eu l’impression parfois de vivre dans l’ombre de Tim parce que c’est lui qui est le personnage public? Et comment est-ce que vous avez vécu cela?
 45:12: Tim, lorsque Kathy n’était pas là, vous avez dit dans l’un des exposés « Je t’aime, parce que je t’aime, parce que je t’aime. » Pratiquement… comment?
 48:57: Maintenant les enfants sont partis, sont mariés, et vous vous retrouvez seuls, comment est-ce que vous avez pu vous réadapter à votre vie à deux après votre vie avec les enfants?

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La semaine dernière, j'ai prêché une mauvaise prédication. J'avais l'impression que c'était le plus mauvais sermon de ma courte carrière de stagiaire (courte, non pas parce que j'ai été viré suite à la prédication, mais parce que j'ai commencé il y a 6 mois). Comment faire pour bien réagir après nos propres mauvaises prédications?

Avant même de commencer, je le sentais mal. Après avoir terminé, j’avais l’impression d’avoir raté. Ce n’était qu’un sentiment. Jusqu’à ce que ce sentiment se transforme en conviction quand mon formateur me l’a confirmé. Ce n’était pas un moment joyeux…

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4 choses qui m'aident après avoir raté ma prédication

La semaine dernière, j'ai prêché une mauvaise prédication. J'avais l'impression que c'était le plus mauvais sermon de ma courte carrière de stagiaire (courte, non pas parce que j'ai été viré suite à la prédication, mais parce que j'ai commencé il y a 6 mois). Comment faire pour bien réagir après nos propres mauvaises prédications?

Avant même de commencer, je le sentais mal. Après avoir terminé, j’avais l’impression d’avoir raté. Ce n’était qu’un sentiment. Jusqu’à ce que ce sentiment se transforme en conviction quand mon formateur me l’a confirmé. Ce n’était pas un moment joyeux. Comment gérer l’après-coup suite à une mauvaise prédication? 

 1. Je ne suis pas sauvé par mes prédications

Il faut commencer là: je suis sauvé parce que Jésus est un grand Sauveur, non parce que je suis un bon prédicateur. Après m’être préparé tant bien que mal, je confie ma préparation à mon Sauveur et je me mets à prêcher. Je lui confie aussi la honte que je ressens après la mauvaise prédication.

 2. Mes meilleures prédications sont moins bonnes que je pense

Cette pensée décourageante peut m’encourager! Parfois mes prédications sont tellement mauvaises, que même moi, je m’en aperçois. Souvent, j’en suis plutôt satisfait. Mais en réalité, toutes mes prédications sont des œuvres imparfaites qui cherchent à enseigner le contenu du Livre parfait. Et si aujourd’hui, je suis découragé de la mauvaise performance, je peux me rappeler: aucune de mes performances n’est parfaite. Et c’est pour ça que je ne suis pas sauvé par mes œuvres.

 3. Mes pires prédications peuvent encore être utilisées par Dieu

Dieu utilise même des prédications oubliables. Je ne sais pas quel aspect de ma mauvaise prédication aura quand même été utilisé par Dieu. On entend souvent l’histoire de la conversion de Spurgeon. C’était un jour de neige, il est venu « par hasard » dans une Église, a entendu un message qui l’a retourné et il s’est converti. On n’a jamais retrouvé le nom du prédicateur.

 4. Cette expérience me prépare pour les prochaines mauvaises prédications

Je vais prêcher d’autres mauvais sermons. Beaucoup d’autres mauvais sermons. Celui-ci peut m’apprendre comment réagir la prochaine fois que je rate ma prédication. Il peut aussi m’aider à savoir comment limiter la casse.

Une chose que je veux apprendre à faire la prochaine fois, c’est être moins long. M’attacher plus au texte et me limiter plus au texte. Dans ma réaction, je veux apprendre à m’oublier malgré la honte d’avoir si mal prêché. Après le culte, je n’avais qu’envie de m’éclipser, alors que j’aurais dû m’oublier et me concentrer sur les frères et sœurs. J’aurais dû m’intéresser aux besoins des personnes qui étaient là pour la première fois.

Et vous? Comment faites-vous pour gérer l’après-mauvaise-prédication?



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 ![](https://9c850400-blue-toutpoursagloire-com-strapi-upload.s3.gra.perf.cloud.ovh.net/mentorat_ba27a1a7eb.png)

Comment former la prochaine génération de leaders? «Le mentorat!» était la réponse et le thème des Assises 2013 du Réseau FEF. Le Réseau propose généreusement les 4 interventions d’Alain Stamp, Raphaël Anzenberger et Martin Sanders (qui est traduit par Florent Varak).

Introduction (Alain Stamp)

Le leadership à la française (Raphaël Anzenberger)

Le Mentorat (Martin Sanders)

Processus de développement du leader (Martin Sanders)

Pour aller plus loin:

Le livre d’Alain Stamp et Martin Sanders s’appelle Multiplier les leaders. Il est disponible sur Amazon en format Kindle, partout en librairie et…

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4 vidéos gratuites sur le Mentorat

 ![](https://9c850400-blue-toutpoursagloire-com-strapi-upload.s3.gra.perf.cloud.ovh.net/mentorat_ba27a1a7eb.png)

Comment former la prochaine génération de leaders? «Le mentorat!» était la réponse et le thème des Assises 2013 du Réseau FEF. Le Réseau propose généreusement les 4 interventions d’Alain Stamp, Raphaël Anzenberger et Martin Sanders (qui est traduit par Florent Varak).

Introduction (Alain Stamp)

Le leadership à la française (Raphaël Anzenberger)

Le Mentorat (Martin Sanders)

Processus de développement du leader (Martin Sanders)

Pour aller plus loin:

Le livre d’Alain Stamp et Martin Sanders s’appelle Multiplier les leaders. Il est disponible sur Amazon en format Kindle, partout en librairie et sur le site des éditions BLF. Plus d’informations sur www.multiplierlesleaders.fr.



Maxime Soumagnas propose une réflexion intéressante sur la prédication textuelle suivie. Ça mérite vraiment le détour. Il raconte:

> Je me souviens avoir écouté une prédication d’un pasteur qui a passé tout son message à nous parler de football pendant 40 minutes, le culte devait terminer à 12h, il a fait quelques références au nom de Jésus, mais à 12h45, nous étions toujours en train de l’écouter parlait du style de jeu allemand et italien. Même si je ne veux pas remettre en cause la centralité du football dans la vie de certaines personnes, je ne suis pas convaincu qu’une…

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C'est quoi une prédication biblique?

Maxime Soumagnas propose une réflexion intéressante sur la prédication textuelle suivie. Ça mérite vraiment le détour. Il raconte:

> Je me souviens avoir écouté une prédication d’un pasteur qui a passé tout son message à nous parler de football pendant 40 minutes, le culte devait terminer à 12h, il a fait quelques références au nom de Jésus, mais à 12h45, nous étions toujours en train de l’écouter parlait du style de jeu allemand et italien. Même si je ne veux pas remettre en cause la centralité du football dans la vie de certaines personnes, je ne suis pas convaincu qu’une prédication devrait se focaliser sur cette agenda footballistique. Est-ce que c’est ça la prédication biblique? 

> Pendant ces trois dernières années de formation théologique, j’ai compris que se référer à la Bible ne voulait pas pour autant dire que nous prêchions la Bible. Bon nombre d’Églises ont des Bibles recouvertes de poussières par manque d’utilisation. D’autres églises encouragent leur congrégation à garder leur Bible ouvertes sans pour autant s’y référer. Est-ce que la place si centrale que la Bible avait pendant la Réforme a été perdue de nouveau? \[Lire la suite\]

Zack Eswine était un jeune homme plein de potentiel et d’ambition à qui on disait souvent: «Je suis impatient de voir ce que tu deviendras dans 10 ans.» Quelques années plus tard, les choses ne sont pas comme on aurait cru. Après 20 ans de ministère, il explique quelles tragédies ont tout changé. Il raconte ses erreurs, ses péchés et les leçons qu’il a retenues. Ces deux vidéos (en anglais) sont une bénédiction à toute personne qui envisage de devenir pasteur.  


L’introduction de Zack:



Il est aussi interviewé par Justin Taylor à propos de son nouveau livre (mais…

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Ce pasteur ordinaire était plein d'ambition et de rêves

Zack Eswine était un jeune homme plein de potentiel et d’ambition à qui on disait souvent: «Je suis impatient de voir ce que tu deviendras dans 10 ans.» Quelques années plus tard, les choses ne sont pas comme on aurait cru. Après 20 ans de ministère, il explique quelles tragédies ont tout changé. Il raconte ses erreurs, ses péchés et les leçons qu’il a retenues. Ces deux vidéos (en anglais) sont une bénédiction à toute personne qui envisage de devenir pasteur.  


L’introduction de Zack:



Il est aussi interviewé par Justin Taylor à propos de son nouveau livre (mais regardez d’abord la première vidéo). Il répond à des questions très intéressantes. L’entretien dure 20 minutes. Voici les questions de Justin Taylor:

0:05 _Commençons par le sous-titre de ton livre: «redécouvrir la vie et le ministère en tant qu’être humain». Pourquoi soulignes-tu notre humanité?_  
2:07 _En quoi ton livre serait ton livre différent si tu l’avais écrit au début de ton ministère, par exemple durant ta première année en tant que professeur de Faculté biblique?_  
3:00 _Une chose que tu dis c’est qu’au début de ton ministère tu voulais faire de grande choses pour Dieu. Maintenant dans ce livre, tu remets ça quelque peu en question. Comment réagis-tu quand un jeune t’exprime son désir de faire de grandes choses pour le Seigneur? C’est certainement pas mauvais de rêver d’être utile au service de Dieu, non?_  
7:00 _Comment aiderais-tu un pasteur à trouver un rythme de ministère durable?_  
10:27 _Tu as créé la formule du «romantique-réaliste». Que veux-tu dire et pourquoi est-ce une expression utile?_  
14:10 _Tu dis dans le livre qu’on est toujours apprentis à quelque chose. Tu distingues entre ce qu’on a appris et comment on l’a appris. On est un peu habitué d’entendre qu’on adore tous quelqu’un ou quelque chose. La notion de l’apprentissage est différente. Qu’entends-tu par ça?_  
19:40 _Si le lecteur ne devait que retenir qu’une seule idée de ton livre, qu’est-ce que tu voudrais que ça soit?_



Téléchargez gratuitement un extrait du livre de Zack Eswine: _Sensing Jesus._

Achetez-le sur Amazon.fr (aussi sur Amazon.com ou Kindle).



C’était comment, le ministère pastoral dans les années 1800? Je confesse lutter avec un gros cliché. Si nous connaissons aujourd’hui certains pasteurs « one-man show », je me disais qu’en 1850 ça devait être encore pire. Le pasteur devait représenter l’éducation, la sagesse, la vérité. En un mot, c’était « l’homme de Dieu » et il devait probablement être un hyper-actif qui gérait tout, de la prédication jusqu’au comité des fleurs et les déjeuners des dames. Un « one-man de Dieu show » si vous voulez. Et bien, je me suis trompé.

En tout cas, Adolphe Monod…

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Un pasteur est payé à faire quoi?

C’était comment, le ministère pastoral dans les années 1800? Je confesse lutter avec un gros cliché. Si nous connaissons aujourd’hui certains pasteurs « one-man show », je me disais qu’en 1850 ça devait être encore pire. Le pasteur devait représenter l’éducation, la sagesse, la vérité. En un mot, c’était « l’homme de Dieu » et il devait probablement être un hyper-actif qui gérait tout, de la prédication jusqu’au comité des fleurs et les déjeuners des dames. Un « one-man de Dieu show » si vous voulez. Et bien, je me suis trompé.

En tout cas, Adolphe Monod, un des plus grands prédicateurs du 19e siècle allait à l’encontre de ce cliché. C’est ce que m’a révélé la lecture d’une esquisse biographique sur sa vie.

 Les deux activités les plus importantes pour un leader

Adolphe Monod connaissait les deux activités les plus importantes pour son ministère et pour tout leader spirituel. Je précise: les plus importantes et non pas les seules responsabilités.

Il cite ces deux activités une première fois lorsqu’il est enseignant à Montauban et une seconde fois alors qu’il vient d’accepter un poste pastoral à Paris:

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> Donner l’exemple de la sainteté et la faire donner par ma famille: humilité, activité, dévouement, renoncement, simplicité, économie. J’aimerais à réduire mon traitement. Surtout profonde piété, amour dominant, constant, tendre pour le Seigneur… Prédication plus utile, plus populaire, plus instructive, soit pour la doctrine, soit pour la vie chrétienne… Moyen: méditer plus et prier plus.p.45
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> Réserver mes petites forces pour faire valoir mon don particulier; à la prédication joindre celles des fonctions pastorales qui ont un caractère essentiellement spirituel: en deux mots, vaquer à la Parole et à la prière, voilà le désir de mon cœur, je dirai plus, la condition à laquelle je puis être utile et heureux dans ma nouvelle position.p.48

 Difficile de faire ce qu’on devrait faire

Adolphe Monod avait les deux pieds sur terre. Tout en sachant ce qu’il devait faire, il confesse que tout est plus facile que prier:

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> J’ai besoin d’une vie toute sainte. C’est le seul élément où je puisse me supporter. Je voudrais travailler moins et prier davantage; mais travailler, lire, écrire, parler, tout cela est plus facile que prier.p.45

Mais Adolphe Monod avait-il raison de résumer les fonctions pastorales à : «vaquer à la Parole et à la prière»? Il semble en tout cas être confiant que ce qu’il affirme est biblique. Malheureusement, la biographie ne précise pas s’il explique quelque part le fondement biblique des deux priorités qu’il s’était fixé.

 « Parole et prière » et la Bible

Un passage dans les Actes mentionne exactement ces deux priorités. Dans les premiers mois de l’Église de Jérusalem, les apôtres sont confrontés à la dure réalité du terrain. On attire à leur attention un problème de logistique dans la distribution de la nourriture. Leur réaction n’est pas de se retrousser les manches et d’êtres vus comme des humbles hommes de Dieu qui servent l’Église en distribuant la nourriture. Leur réaction est tout le contraire. Ils délèguent. C’est leur argumentaire qui est particulièrement intéressant.

Les apôtres disent: «Il ne convient pas que nous délaissions la Parole de Dieu pour servir aux tables». Ils délèguent donc ce travail à des hommes remplis du Saint Esprit et résument leur ministère pastoral par ces mots:

> Pour nous, nous persévérerons dans la prière et dans le service de la parole. – Act 6.1-6

Une remarque s’impose. Le livre des Actes des apôtres est particulièrement difficile à interpréter et appliquer. De plus, il est sage de construire sa doctrine sur tout un corpus de textes et non un passage. Cet article a le titre provoquant « Un pasteur est payé à faire quoi? ». Mais je vais vous décevoir, je ne vais pas donner une réponse complète. Cet article n’a fait que partager quelques belles citations de Monod. C’est aussi une invitation à s’examiner et réfléchir sur le sujet.

Évidemment, j’aimerais pousser la réflexion plus loin. Mais je vais devoir me limiter à citer quelques références. Le ministère d’un ancien dans la Bible est intimement lié à l’enseignement de la Parole (cf. Ga 6.6; 1 Ti 3.2, 5.17; Tt 1.9). La prière est elle aussi intimement liée à la Parole (Ép 6.17-18 et Col 4.2-4).

Nous avons tous des attentes de nos pasteurs et anciens. Mais ces attentes sont-elles bibliques? Quelle place devrait avoir la parole et la prière dans notre vie?

Toutes les citations d’Adolphe Monod, in Les Adieux, édition Groupes missionnaires, 1956. Cette édition est en rupture, mais il existe " target="_blank" rel="noopener">une réédition faite par Excelsis.

_Southern Baptist Theological Seminary_ a organisé une conférence d’un jour sur le mariage et le ministère pastoral. La vidéo de CJ Mahaney a déjà beaucoup circulée sur les réseaux sociaux.  Mais je la conseille à nouveau ici.

Ce n’est pas une prédication. Ce sont 37 ans d’expérience qui racontent comment cultiver un mariage en excellente santé dans le ministère pastoral. Je trouve Mahaney particulièrement pertinent sur ce sujet. Il est plein de conseils simples et sages.

Beaucoup de ce qu’il dit dans cette vidéo se retrouve dans son petit livre _Sex, Romance and the Glory of God_ à paraître aux…

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Mariage et le ministère pastoral

_Southern Baptist Theological Seminary_ a organisé une conférence d’un jour sur le mariage et le ministère pastoral. La vidéo de CJ Mahaney a déjà beaucoup circulée sur les réseaux sociaux.  Mais je la conseille à nouveau ici.

Ce n’est pas une prédication. Ce sont 37 ans d’expérience qui racontent comment cultiver un mariage en excellente santé dans le ministère pastoral. Je trouve Mahaney particulièrement pertinent sur ce sujet. Il est plein de conseils simples et sages.

Beaucoup de ce qu’il dit dans cette vidéo se retrouve dans son petit livre _Sex, Romance and the Glory of God_ à paraître aux éditions BLF prochainement.



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