Psaume 2 - L'invincibilité du royaume de Christ

      HerméneutiqueDoctrine du ChristPsaumes
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      Un conflit cosmique traverse l’histoire du genre humain. Cet antagonisme se déploie depuis la chute d'Adam, dont l’épouse, Ève, a été séduite par le diable. À la suite de cet événement désastreux, l'humanité est entraînée dans une guerre aux enjeux qui la dépassent infiniment. Ces enjeux touchent au bien et au mal, à la vie et à la mort, ainsi qu'aux deux éternités qui s'offrent à l'homme: l'une qui ouvre sa destinée à la gloire, l'autre qui la scelle dans la honte.

      Depuis la chute d'Adam, la postérité du diable livre un affrontement sans merci à celle d’Ève. Ce combat se poursuivra jusqu'à son ultime consommation, lorsque le Seigneur de l'univers reviendra juger les vivants et les morts.

      Le début du livre de la Genèse contient une prophétie de la victoire remportée par Christ à la croix. La venue d'un Messie y est promise, lequel désarmera les puissances du mal. Il est écrit que le Messie sera du même coup blessé au talon. Étonnamment, cette annonce précède d’environ mille cinq cents ans l'événement historique de la crucifixion de Jésus, dont le pied a effectivement été meurtri par le clou qui l’a fixé au bois. Encapsulée dans ce qu’il est convenu d’appeler "le proto-évangile", voici la sentence irrévocable que prononce l’Éternel à l'adresse de Satan:

      Je mettrai inimitié entre toi et [Ève]. Entre ta postérité et sa postérité: celle-ci t'écrasera la tête, et tu lui blesseras le talon.

      Genèse 3.15

      En cohérence avec cette promesse fondatrice, le psaume 2 proclame aussi la victoire de la postérité d’Ève sur celle du diable. Cette postérité se révélera pleinement dans la personne d'un charpentier galiléen du nom de Jésus, aussi appelé le Christ.

      1 Pourquoi ce tumulte parmi les nations, ces vaines pensées parmi les peuples? 2 Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils et les princes se liguent-ils avec eux contre l’Éternel et contre son oint? 3 Brisons leurs liens, délivrons-nous de leurs chaînes!


      4 Celui qui siège dans les cieux rit, le Seigneur se moque d’eux. 5 Puis il leur parle dans sa colère, il les épouvante dans sa fureur: 6 C’est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte!


      7 Je publierai le décret; l’Éternel m’a dit: Tu es mon fils! Je t’ai engendré aujourd’hui. 8 Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, les extrémités de la terre pour possession; 9 Tu les briseras avec une verge de fer, tu les briseras comme le vase d’un potier.


      10 Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction! 11 Servez l’Éternel avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement. 12 Baisez le fils, de peur qu’il ne s’irrite, et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s’enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui!

      Psaumes 2

      Notre exposition du deuxième psaume se développera selon les quatre axes qui se dégagent naturellement de sa composition: la rébellion des hommes (v. 1-3), la dérision de Dieu face à cette rébellion (v. 4-6), la proclamation de la victoire messianique (v. 7-9) et l’appel de Dieu à la capitulation de ses ennemis (v. 10-12). En enchaînant sur l’urgence du ton qui conclut notre étude du premier psaume, nous mettons en garde quiconque entreprendrait d'opposer quelque résistance que ce soit à la volonté du seul et unique vrai Dieu, absolument invincible.

      La rébellion des hommes (v. 1-3)


      Pourquoi ce tumulte parmi les nations, ces vaines pensées parmi les peuples? Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils et les princes se liguent-ils avec eux contre l’Éternel et contre son oint? (v. 1-2)

      Sous la forme d’une lamentation, chacun de ces deux versets pose une question rhétorique aux puissants de ce monde, dont la rébellion contre l'Éternel influence les peuples qui leur sont subordonnés. Dans le contexte spécifique du psaume 2, cette révolte s’observe d’abord de façon générale contre Dieu, ensuite de façon spécifique contre celui qui est désigné comme "l’Oint" de l’Éternel. L'adjectif substantivé "Oint" dérive de l'hébreu Māšîaḥ, traduit en français par "Messie". Le mot grec Christos en tire son vocable et a donné "Christ" en français. L'ensemble de cette terminologie renvoie concrètement à l’onction d'une huile sur la tête du chef d'une nation. Dans la Jérusalem ancienne, ce symbole matériel d'intronisation du souverain marque aussi sa puissance spirituelle débordante. Nous faisons ici référence à l'onction du Saint-Esprit que requiert la consécration du roi à la réalisation de son mandat royal.

      Dans le psaume 2, la mention de l'Oint concerne d'abord David. L’onction du roi David, qui a préfiguré Christ de manière très imparfaite, n'en manifeste pas moins l’alliance que Dieu a conclue avec lui. L'Éternel promet que le règne de la famille de David, des reins desquels sera issu le véritable Messie, durera perpétuellement. Dans un autre livre de la Bible, une prophétie corrobore l'authenticité de ce traité d'alliance initié par Dieu, alors qu'il annonce à David:

      Quand tes jours seront accomplis et que tu seras couché avec tes pères, j’élèverai ta postérité après toi, celui qui sera sorti de tes entrailles, et […] j’affermirai pour toujours le trône de son royaume.

      2 Samuel 7.12-13

      Le Nouveau Testament s’ouvre par une allusion à cette prophétie de la manière suivante: “Généalogie de Jésus-Christ, fils de David.” (Matthieu 1.1). Cette allusion établit un lien entre l'Ancien et le Nouveau Testament. Elle a pour fonction apologétique de convaincre les lecteurs juifs que Jésus de Nazareth est bel et bien le Seigneur que promet leur Livre. Dans sa filiation royale, le Christ s'avérera le véritable tributaire du traité d'alliance perpétuelle prophétisé à l'oreille de David, par la bouche du prophète Samuel.


      Pourquoi les rois de la terre se soulèvent-ils et les princes se liguent-ils avec eux contre l’Éternel et contre son oint? Brisons leurs liens, délivrons-nous de leurs chaînes! (v. 2-3)

      Le règne de David ne s’est pas déroulé sans opposition géopolitique. Cette opposition terrestre renvoie ultimement au conflit cosmique mentionné en introduction. Dans son commentaire sur le deuxième psaume, Armand de Mestral affirme la chose suivante:

      Le psalmiste nous représente des peuples nombreux soulevés contre l’Éternel et contre la personne sacrée du Roi qu’il a établi sur eux. Dès la première lecture de ce remarquable Psaume, on pressent qu’il y est question de quelque personnage bien supérieur en dignité et en puissance à David lui-même, et à tous les rois d’Israël, ses successeurs, et d’une révolte bien plus considérable que toutes celles contre lesquelles ils eurent à défendre leur trône1.

      Les tribulations souvent méritées que David a subies préfigurent celles, imméritées, qu'éprouvera volontairement sa postérité messianique. Christ sortira victorieux de ses tribulations. Sa résurrection authentifie qu'il est réellement Dieu incarné.

      Nous avons entrepris l'analyse du psaume 2 dans le contexte immédiat de la Jérusalem ancienne, sous l'autorité du roi David. En filigrane de ce contexte, nous avons entendu, par la même occasion, une seconde voix, qui s'exprime par la bouche d'un locuteur autre que celle du psalmiste. Lorsque David parle de son onction et de ses tribulations, la voix de Christ se fait entendre par anticipation, à travers la sienne.

      La dérision de Dieu (v. 4-6)

      Dans le Nouveau Testament, une paraphrase des versets initiaux éclaire les événements entourant la crucifixion de Christ. Sous l'inspiration du Saint-Esprit, l’apôtre Pierre invoque Dieu le Père de cette manière:

      Contre ton saint serviteur Jésus, que tu as oint, Hérode et Ponce Pilate se sont ligués dans cette ville avec les nations et avec les peuples d’Israël.

      Actes 4.27

      En raison de l’impossibilité pour toute créature de contrecarrer le plan rédempteur divin, le moment où a semblé culminer l’opposition à ce plan, c’est-à-dire lors de la crucifixion du Messie, a providentiellement été mis au service de son accomplissement. Saisissant l’occasion de la plus grande apparence de vulnérabilité, le Crucifié affirmera l’invincibilité de son règne, dans un renversement inespéré, lors de sa résurrection d'entre les morts. L'apôtre Paul a d'ailleurs écrit que Jésus-Christ, par sa mort et par sa résurrection, a livré publiquement le diable en spectacle (Colossiens 2.15).


      Celui qui siège dans les cieux rit, le Seigneur se moque d’eux. Puis il leur parle dans sa colère, il les épouvante dans sa fureur. (v. 4-5)

      L’accomplissement du plan rédempteur divin n’est pas sans ironie. Ce plan, quoiqu’il prenne des détours ironiques, n’a pourtant rien de drôle. Dans le contexte des versets 4 et 5, le rire de Dieu suppose son mépris pour ceux de ses ennemis qui s'entêtent dans leur endurcissement. Le rire de Dieu est une manière redoutable d’exprimer l’accumulation de sa colère sur la tête de ceux qui persistent dans leur impiété. Voici ce qu’affirme William Graham Scroggie dans son commentaire posthume (1978) sur les Psaumes:

      N'ayez pas Dieu contre vous [...]. Il vaut mieux l'embrasser que d’être avec ceux dont Dieu se rit. Il vaut mieux fléchir que d'être brisé2.


      C’est moi qui ai oint mon roi sur Sion, ma montagne sainte! (v. 6)

      Dans cet extrait, Dieu persiste quant à sa promesse et il la signe. L’exclamation de l'Éternel exprime une sainte jalousie qu'il a pour son nom (cf. Ésaïe 42.8). Le verset 6 manifeste la toute-puissance de Dieu, dont la seule identification "C'est moi" est à même de faire frémir les rebelles. Cette signature représente un moment pivot qui, dans les trois versets suivants, donnera lieu à la mise en valeur explicite de la pérennité du règne de la descendance de David. À partir du contexte de la Jérusalem ancienne, l’Éternel promet un règne universel et perpétuel à la postérité de David.

      La proclamation du Messie victorieux (v. 7-9)


      Je publierai le décret; l'Éternel m'a dit: Tu es mon fils! Je t'ai engendré aujourd'hui. (v. 7)

      Anciennement, dans le contexte oriental, il était communément accepté par nombre de nations despotiques que leur roi se réclame d'une filiation divine. Dans le contexte particulier de la nation hébraïque, ce ne peut être dans cet esprit d'arrogance que David publie son droit divin. Encore une fois, dans ce verset, une autre voix que celle de David se fait entendre: celle de Dieu le Fils, adressée à son Père céleste. Pour en faire la démonstration, il nous faut nous attarder sur une considération doctrinale.

      Le dogme de l'engendrement éternel de Dieu le Fils par son Père céleste est implicite au verset 7. Cet engendrement ne signifie pas que Dieu le Fils ait été créé, comme se l'imaginent certains groupes sectaires se réclamant à tort et à travers du christianisme. Cet engendrement signifie plutôt que le Fils est de la même essence que son Père, c'est-à-dire du même genre divin. Le marqueur temporel "aujourd'hui" affirme cette réalité. Pour Dieu, un jour n'est pas marqué comme celui des êtres humains. Si, dans le même verset, Dieu est désigné par le vocable "l'Éternel", pour lui, "aujourd'hui" est un éternel présent. Nous déduisons donc que Dieu le Fils, aujourd'hui et à jamais, est éternellement de la même nature que son Père céleste, vraiment divin. Origène, un théologien du troisième siècle, écrit:

      Il n'y a pas de soir possible pour Dieu ni de matin, mais ce temps, si je puis m'exprimer ainsi, coextensif à sa vie sans origine et éternelle, est pour lui un aujourd'hui, jour où le Fils a été engendré. Par conséquent, on ne peut trouver ni le commencement ni le jour de sa génération3.


      Demande-moi et je te donnerai les nations pour héritage, les extrémités de la terre pour possession. (v. 8)

      Toujours au-delà du contexte particulier du roi David, après l'autoproclamation de l'identité et de l'autorité de Dieu le Fils, son Père céleste, dans une surenchère grandiose, les confirme au verset 8. Le trône de David n’a pas été établi uniquement sur Israël, mais sur toute la terre, telle qu'elle revient à l'Éternel. Dans ce verset, le Père offre son héritage à son Fils.

      Dans le même esprit, Jésus déclare après sa résurrection:

      Tout pouvoir m'a été donné dans le ciel et sur la terre.

      Matthieu 28.18

      Avant la croix, Christ était en mission "d'infiltration clandestine" dans sa création. Il avait revêtu sa divinité de faiblesse humaine. Après que sa mission eut été accomplie à la croix, ses disciples ont vu son corps ressuscité. Une preuve tangible leur a alors été donnée quant à la coïncidence parfaite entre ses deux natures, divine et humaine. L'héritage du Père donné au Fils que promet le psaume 2 se confirme par la toute-puissance dont se réclame Jésus après sa résurrection. Elle se confirme aussi par les progrès historiques et géographiques fulgurants qu'a opérés le christianisme depuis deux millénaires, à partir du ministère d'un charpentier itinérant.


      Tu les briseras avec une verge de fer, tu les briseras comme le vase d'un potier. (v. 9)

      Ce verset peut générer une inquiétude pour les gens dotés d'une conscience tendre. Le mot "verge" se traduit du terme hébreu šēbeṭ, qui signifie à la fois une canne de berger et un sceptre royal de justice.

      Pastoralement, la canne du berger est un outil de correction qui cherche à ramener, dans les rangs du troupeau, les brebis qui s'égarent. Selon cette première définition, la canne dont il est question fait fléchir la volonté d'un animal têtu. Par la discipline, la canne agit avec une intention aimante, celle d'une autorité bienveillante.

      Selon la seconde définition, le sceptre de justice dont il est question porte atteinte à l'intégrité de la personne elle-même. Ce sceptre vengeur devient alors un instrument de destruction à l’encontre des loups, ravisseurs des brebis, qui veulent s'attaquer au troupeau du bon berger. Cette polysémie signifiant deux instruments, disciplinaire ou destructeur, caractérise le règne du Messie. Christ est à la fois Sauveur et Seigneur.

      Dieu, sans tenir compte des temps d'ignorance, annonce maintenant à tous les hommes, en tous lieux, qu'ils ont à se repentir, parce qu'il a fixé un jour où il jugera le monde selon la justice.

      Actes 17.30-31

      Cette offre s’adresse actuellement à tous les êtres humains, pendant qu'il est encore temps.

      Un appel à la capitulation


      Et maintenant, rois, conduisez-vous avec sagesse! Juges de la terre, recevez instruction! (v. 10)

      Dans cet extrait, le roi David se rappelle lui-même à l'ordre. En outre, à travers la plume du psalmiste, Dieu interpelle les dignitaires responsables de la législation des sociétés humaines. Le rôle du chrétien vis-à-vis des autorités est de prier pour qu'elles se convertissent en ayant en vue le salut de tous ceux qui dépendent d'elles (cf. 1 Timothée 2.1-2). Par la prière, les chrétiens ne se compromettent pas dans les complots des gens au pouvoir.


      Servez l’Éternel avec crainte, et réjouissez-vous avec tremblement. (v. 11)

      Au-delà des affiliations politico-eschatologiques, l'ultimatum perceptible dans l'avant-dernier verset encourage fortement à reconnaître personnellement Jésus-Christ pour qui il est: Sauveur et Seigneur de l'humanité. Le premier de ces deux titres suscite de la joie. Le second devrait normalement inspirer une crainte révérencielle: celle de lui déplaire. Voilà pourquoi ceux qui servent l’Éternel se réjouissent avec tremblement.


      Baisez le fils, de peur qu’il ne s’irrite, et que vous ne périssiez dans votre voie, car sa colère est prompte à s’enflammer. Heureux tous ceux qui se confient en lui! (v. 12)

      Après avoir entendu le témoignage qu'a rendu Jésus-Christ durant son incarnation, l'être humain qui le rejette néanmoins périra dans ses voies. L'homme doit se prémunir de l'épouvantable colère de Dieu. Paradoxalement, la façon de s'en préserver n'est pas de se cacher loin de lui, comme a tenté de le faire Adam après son péché, croyant pouvoir passer ainsi inaperçu sous le regard omniscient de son Créateur:

      J’ai entendu ta voix dans le jardin et j’ai eu peur, car je suis nu; alors je me suis caché.

      Genèse 3.10

      La manière de se protéger de la colère de Dieu ne consiste pas à tenter de se dérober à son regard, mais à se blottir dans ses bras. Le refuge contre la colère de Dieu se trouve entre ses bras naguère tendus à la croix, qui, bien qu'ils n'y soient plus, demeurent l’invitation définitive de Dieu aux hommes.

      Conclusion

      En dépit des apparences, par des renversements providentiels surprenants, le psaume 2 révèle l'invincibilité du royaume de Christ. Or, le Seigneur de l'histoire est déjà une personne, qui n'a donc pas besoin d'être personnifiée. Ce pourquoi chaque personne humaine est née, c'est pour recevoir l'amour infini d'une autre personne, connaissant tout d'elle et l'aimant tout de même, ce dont seul Dieu est capable. Bonne nouvelle pour les laissés pour compte de l'histoire: le royaume de Dieu s'affermit de jour en jour, quoi qu'en pensent ses ennemis.

      L'exhortation finale de ce psaume nous rappelle notre intérêt et notre responsabilité, autant sur le plan individuel que collectif. Il s’agit de nous soumettre au règne bienfaisant de Jésus et d'en témoigner auprès de ceux qui s'y opposent encore. L'entre-temps de la grâce ne durera pas éternellement. Ceux qui s'imaginent que le discours chrétien n'est qu’une manière de se représenter la vie parmi tant d'autres sont invités à rechercher la vérité avec le plus grand sérieux. Nous affirmons avec une pleine conviction qu'à la tombée du rideau, il n'y aura pas de rappel, mais seulement deux réalités éternelles. La première s'ouvrira sur un bonheur actuellement inconcevable. La seconde se scellera sur un jugement dont l'horreur ne peut actuellement être qualifiée qu'en euphémismes. La seconde se refermera sur ceux qui, par orgueil, ont rejeté l'amour de Christ. La première sera offerte à ceux qui se sont laissés toucher par cet amour, celui qui a été donné par le Messie, afin que quiconque croit en lui “ne périsse point, mais ait la vie éternelle” (Jean 3.16).


      Pascal Denault

      Pascal Denault est pasteur à l’Église réformée baptiste de St-Jérôme (Québec), il est marié avec Caroline et ils sont les heureux parents de quatre enfants. Pascal a complété un baccalauréat et une maîtrise en théologie à la Faculté de théologie évangélique de Montréal. Il est également blogueur sur le site Un héraut dans le net et auteur de plusieurs livres dont Le côté obscur de la vie chrétienne et Disciple aujourd’hui.

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