Parce que lire c'est la vie et qu'en fin d'année tout à droit à son rewind ou award, voici mon TOP 10 de l'année 2020.
Précision habituelle, je retiens 2 critères:
C’est donc une sélection purement personnelle.
Ce livre permet de revisiter les plus importants procès de notre histoire par le prisme des plaidoyers des plus grands avocats. Leur réthorique, les enjeux de leur défense, le nature hors norme des procès… tout m’a passionné et parfois rappelé l’avocat que j’ai auprès du Père.
Un commentaire pastoral et dévotionnel d’Ephésiens 6.10-20, simple et profond. Duguid m’a rappelé que l’armure du chrétien est avant tout celle du Serviteur de l’Éternel décrite par Esaïe. L’armure que Christ a porté pour remporter la victoire.
Quels sont les mécanismes cognitifs qui poussent les masses à crier au complot sur les réseaux sociaux dès qu’un journaliste, un scientifique ou un politicien affirme une vérité? Les croyances remplacent de plus en plus la connaissance et la pensée critique. Pourtant, nous n’avons jamais été aussi informé, éduqué, développé.
Cet essai de sociologie tente d’expliquer les biais qui résultent de la révolution majeure qu’a engendré Internet sur le marché cognitif et comment un certain « démocratisme » naïf nourrit la bête. Passionnant!
J’aime tout chez Vargas. le rythme décalé, les lubies de ses personnages (Adamsberg toujours aussi perché), l’énigme qui glisse entre les doigts. Un régal pour les férus de « rompol ».
Ce livre m’a aidé à mieux faire le lien entre l’union à Christ, la justification et la sanctification. Une démonstration brillante que la vérité transforme et que la théologie aboutie toujours à la vie de tous les jours. J’ai beaucoup aimé la pédagogie et la profondeur et l’authenticité de Miller.
Ce livre m’a humilié. Il m’a aussi fait comprendre que je devais prendre (réellement) en compte mes limitations. À lire si l’on veut tenir bon dans le ministère.
Les réseaux sociaux sont conçus nous rendre accros. Lisez ce livre, évaluez sa pertinence et sa sagesse et vous vivrez plus concentré, plus productif et avec moins de désir des écrans.
Le leader doit tout prendre en charge dans son monde. Il n’y a personne d’autre à blâmer. Il doit reconnaître les erreurs et admettre les échecs, en assumer la responsabilité et élaborer un plan pour gagner.
Voici la thèse de Willink. On la prend comme une claque derrière la tête. Rappel à la responsabilité façon Navy SEAL. Je vous encourage à regarder cette vidéo (sous-titres français disponibles). Nous avons également fait un épisode de Memento Mori dessus.
Sa lecture devrait être rendu obligatoire dans tous les cursus de Science-Po, ENA, HEC, dans toutes les écoles de management… et pour tous les chrétiens qui reconnaissent que Dieu les traite comme des êtres responsables devant lui. (Je l’ai lu en français, mais la traduction est exécrable… Je le mets donc en anglais pour ceux qui le lisent)
Entre une industrie agroalimentaire qui favorise les trouble du comportement alimentaire, les injonctions quotidienne à la minceur et l’Église qui ne voit pas le péché de gloutonnerie, nous sommes pas très aidés. Fitzpatrick développe une théologie de la nourriture et de la santé accompagnée d’une pastorale remarquable. Sa lecture m’a beaucoup aidé pour glorifier Dieu dans ma façon de traiter mon corps. (On en parle aussi dans Memento Mori)
Le calvinisme, c’est bien plus que les 5 points ou le débat sur l’élection. C’est une théologie et une piété centrée sur Dieu et sa gloire. Ce livre en embrasse tous les aspects: historique, sotériologique, spirituel, doxologique, ecclésiologique et pratique.
C’est un ouvrage passionnant qui a approfondi ma foi et ma compréhension de la gloire de Dieu.