Ce matin au culte, j’ai entendu une bonne prédication sur l’incroyable cadeau qu’est l’Esprit de Dieu donné à l’Église le jour de Pentecôte. Ça m’a fait ressortir mon exemplaire de Dieu oublié et partager une citation:
« Si j’étais Satan et que mon objectif ultime était de contrecarrer le royaume de Dieu et ses desseins, je tenterais avant tout d’amener les chrétiens à négliger le Saint-Esprit. Notre négligence a grandi proportionnellement à notre sentiment d’insatisfaction dans et avec l’Église. Elle est devenue une maladie qui a contaminé le corps de Christ. Nous avons conscience qu’il manque quelque chose d’essentiel. Ce sentiment d’insatisfaction est si intense que certains sont allés jusqu’à se détourner de l’Église et de la Parole de Dieu.
Je crois que ce quelque chose qui manque est en réalité quelqu’un, à savoir le Saint-Esprit. Sans lui, les gens agissent par leurs propres forces et n’obtiennent que des résultats à taille humaine. Et sans l’Esprit saint, l’Église n’a pas la puissance nécessaire pour faire la différence dans ce monde. Mais quand les croyants vivent par la puissance de l’Esprit, ils vivent une vie surnaturelle. L’Église ne peut alors faire autrement que d’être différente, et le monde ne peut que le remarquer. »
— Francis Chan, Dieu oublié (Marpent, BLF) p. 14