Mike et son épouse Becky ont quatre enfants. Pasteur de l’Église Calvary Chapel à Paris, Mike est aussi en dernière année de master à la Faculté Jean Calvin. Il publie également des articles sur le site CalvaryChapel.com. Enfin, il est auteur d’un livre: De l’imprévu vers la volonté de Dieu (2013), une méditation sur Actes 20-28. Il a aussi écrit une histoire courte, Killing Sennacherib (2017), qui est parue dans la compilation Faith Like a Mustard Seed.
C’est un peu particulier, parce que je suis à la fin d’un programme de master à la Faculté Jean Calvin. Donc, tout ce que je lis pour l’instant est un peu académique. Mais en ce moment, dans le cadre de mon mémoire, je prends plaisir à lire Nouvelles théories sur l’art moderne et sur l’art sacré, 1914-1921, de Maurice Denis.
Oui! Ce sont surtout des livres que je n’avais pas eu le temps de vraiment approfondir cette année. Par exemple, j’aimerais revenir sur le livre d’Andy Crouch, Playing God, Redeeming the Gift of Power. Il y a aussi le livre de Calvin Seerveld, A Christian Critique of Art and Literature.
Mais il y a aussi des livres qui sont en attente comme le livre posthume d’Edouard Nelson, Plaidoyer pour la véritable liberté, égalité, fraternité. Ou encore, Leaving Yesterday Behind de William Hines. Enfin, il y a tout ce que je n’ai pas encore lu de Jacques Ellul, mon nouvel auteur favori après la fac!
Je reviens souvent à des livres de référence. Par exemple, le livre Libre de le dire, que je trouve encourageant et informatif. Ou encore, Vivre en Chrétien aujourd’hui, d’Alain Nisus. Nous l’avons acheté pour notre groupe de jeunes à l’église, mais il est utilisé pour beaucoup plus!
Puis, il y a des livres qui ont changé ma perspective. Par exemple, La parole humiliée d’Ellul. Ce livre m’a fait réfléchir différemment sur l’impact de l’image à l’ère des médias sociaux.
Ou encore, Reading Backwards, de Richard Hays. Ce livre explicite des idées que j’avais vaguement, mais sans clarté.
Enfin, je citerai Résilient Ministry, de Burns, Chapman et Guthrie. Celui-ci est devenu une aide importante pour persévérer dans le ministère pastoral.
D’abord, je pense à tous les livres de C.S. Lewis. Je les ai tellement lus et relus qu’ils ont influencé ma façon de raisonner.
Ensuite, l’œuvre de Francis Schaeffer, Art and the Bible, a balayé pas mal de mes présupposés au sujet de l’art.
Enfin, Why Grace Changes Everything, de Chuck Smith, m’a donné une perspective sur la grâce que je n’ai jamais considérée auparavant.
Les biographies qui m’ont marqué le plus…
Je pense d’abord à ce missionnaire extraordinaire Hudson Taylor, ou Helen Roseveare. Également, la vie de Keith Green m’a toujours fasciné et interpellé. Et bien sûr, mon grand héros: C.S. Lewis.
Je ne lis pas souvent des romans, car je préfère la fiction courte, comme des nouvelles. Mon auteur préféré est Flannery O’Connor. Mais pour répondre à la question, mes favoris de tout temps sont Les Misérables, de Victor Hugo, et Paris est une fête, d’Ernest Hemingway.
De l’imprévu vers la volonté de Dieu, Méditations pour la vie moderne et parfois chaotique (2013), éditions Croix du salut. J’ai écrit ce livre pour mon église à partir des prédications du dimanche sur Actes 20-28. En effet, j’étais impressionné de voir comment l’apôtre Paul a (sur)vécu au bouleversement de tous ses plans bienveillants envers l’Église à Jérusalem. C’était un sujet qui était assez parlant pour notre groupe à l’époque.
J’ai également écris une collection d’histoires courtes que j’appellerai « 10 paraboles », que j’ai commencé avant mon master à la Faculté Jean Calvin. J’ai hâte de revenir dessus et de la terminer. Les sujets sont variés, mais ils sont pris de la vie et des comportements dans l’Église qui m’ont toujours surpris. Par exemple, je raconte l’histoire d’un homme athée. Celui-ci qui va se confesser devant un prêtre parce qu’il ne veut pas débourser d’argent pour voir un thérapeute…