Les images représentant Jésus dans les Bibles pour enfants, sur les vitraux des églises, ou même pour illustrer des articles, vont-elles à l'encontre du 2nd commandement de la loi de Dieu?
Tu ne te feras point d'image taillée, ni de représentation quelconque des choses qui sont en haut dans les cieux, qui sont en bas sur la terre, et qui sont dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras point devant elles, et tu ne les serviras point…
Ex 20.4-5a
Un pasteur vous répond: le podcast de Florent Varak qui t’aide à mieux comprendre la Bible, une question à la fois.
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Transcription:
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La question est posée:
Bonjour Florent, voici ma question est-ce que les images sont tolérées dans le protestantisme dans un but pédagogique et mémoriel malgré l'interdit du deuxième commandement ? Je te remercie.
Merci pour ta question, elle est courte et précise, elle est simple, mais en fait, elle nous renvoie à plein d'événements dans l'histoire. Une histoire qui est encore visible si jamais tu viens rendre visite à la plus belle des villes de France. Non, ce n'est pas tout à fait exact, mais en tout cas, la belle ville de Lyon, ma ville natale, et si tu te rends à la cathédrale Saint Jean qui est dans le vieux Lyon, tu pourras observer sur la façade extérieure de cette cathédrale l'absence de statues sur les socles. Pourquoi Parce que les protestants les ont détruits.
Et même autour des portes se trouvent un certain nombre de statues décapitées. Pourquoi Parce que les protestants les ont saccagés ces statues. C'était en quinze cent soixante-deux. Le baron des Adrets, militaire protestant, avait pris la ville et voulait la préserver de toute idolâtrie, précisément pour la question que tu poses. Alors il faut savoir que notre homme, le baron des Adrets, François de Beaumont de son vrai nom, était d'une cruauté légendaire.
Lorsque les protestants le désavoueront, notamment pour les excès de son comportement, il reviendra à la religion catholique, il est difficile de le classer autrement qu'en opportuniste mercenaire. Mais voilà, au nom du protestantisme, il a détruit des statues, avait-il raison Alors tu poses la question sous l'angle dans le protestantisme. En réalité, il serait difficile de répondre pour le protestantisme, parce que contrairement à l'église catholique, il n'y a chez nous aucune hiérarchie qui établisse ou lisse les croyances et les pratiques pour les églises. Il n'y a pas non plus de textes faisant consensus sur l'ensemble des églises en dehors de l'écriture. Et d'ailleurs historiquement, ce n'est plus le cas maintenant des églises réformées de France qui ont une perspective théologique plus large et que nous considérerions comme assez libérales.
Mais pour nous, dans le protestantisme évangélique qui se réclame de l'histoire, de cet héritage, notre cri du coeur au sujet de l'autorité spirituelle, c'est Sola scriptura, la Bible seule, l'Ecriture seule. Donc dans chaque église locale, on va partir de l'Ecriture pour formuler une approche qui serait fidèle à la Bible. Et puis il y a autour des églises, des institutions de formation de pasteurs, des discussions entre responsables, des blogueurs et des livres qui sont écrits, et qui permettent ensuite, ou en même temps, à l'ensemble de l'église de se forger des opinions qui sont en fait assez consensuelles. Alors justement, que dit l'écriture Ce sera la première partie de ma réponse. Tu cites le deuxième commandement, voilà ce que disent les dix commandements dans leur première partie, nous sommes là en Exode chapitre vingt.
Dieu prononça toutes ces paroles en disant je suis l'Eternel, ton Dieu, qui t'ai fait sortir du pays d'Égypte de la maison de servitude. Tu n'auras pas d'autres dieux devant ma face. C'est le premier commandement. Et à partir du verset quatre et jusqu'au verset 6, il y a: tu ne te feras pas de statue ni de représentation quelconque de ce qui est en haut dans le ciel, ce qui est en bas sur la terre, et de ce qui est dans les eaux plus bas que la terre. Tu ne te prosterneras pas devant elles, et tu ne leur rendras pas de culte, car moi, l'Eternel, ton Dieu, je suis un Dieu jaloux.
Et je passe la suite que j'ai d'ailleurs traitée dans d'autres podcasts. Donc c'est un commandement qui est plus longuement expliqué, détaillé, et il fait partie de la première des deux tables des dix commandements. Parce qu'on a réalisé que les dix commandements pouvaient se classer en deux parties une première partie régule notre rapport à Dieu, et la deuxième partie régule notre rapport aux hommes et à la société. Et donc on a dans cette première partie, le deuxième commandement qui interdit de prendre des statuts et de se prosterner devant elle. Alors effectivement, cette prohibition est claire, pas de statut, pas de représentation devant lequel on se prosternerait.
D'ailleurs, c'est pourquoi ça me choque souvent en tant que protestant évangélique, de voir des personnes se prosterner devant des statues, se prosterner devant des objets de culte, parfois se prosterner devant des morts qui ont été sacralisées ou devant des tombes. Ceci dit, est-ce que ce commandement interdit toute représentation artistique Je ne le pense pas. Pourquoi bien, il faut regarder, notamment dans le livre de l'Exode, la description de la construction du tabernacle, c'est-à-dire de cette tente qui va voyager avec le peuple d'Israël tout au long de son périple jusqu'à la terre promise, et notamment de cette arche, de cette boîte qui est revêtue de deux chérubins en or, et avec des rideaux qui séparent les les lieux sur lequel il y avait des représentations. Donc, représenter artistiquement les choses, ne semble pas faire partie de la prohibition. Le problème vient de représenter quelque chose qui devient véhicule ou intermédiaire ou représentation du sacré, et de passer par cette représentation pour accéder à Dieu.
Il faut réaliser que Israël sortait d'Égypte, une civilisation qui représentait ces divinités par des objets, des animaux, et que ces objets, ces animaux étaient censés véhiculer la puissance du Dieu en question. Les gens parlaient ou vénéraient ou offraient à ces animaux, en pensant, ou à ces ou à ses statuts donc, en pensant que c'était là la manière dont le Dieu en question pouvait entrer en relation avec eux. Or, le Dieu de l'écriture, Dieu créateur, n'a pas de traits physiques, et toute représentation lui serait profondément infidèle. Dieu est éternel, infini, tout-puissant, il habite une lumière inaccessible que nul ne peut voir ni entendre, il est transcendant. Toute représentation de Dieu serait donc une insulte à ce Dieu.
Il est détournement, dangereux, car limitant de ce que Dieu est. En fait, pour qu'on se représente Dieu, Dieu a été extraordinaire envers nous. Il nous a laissé l'écriture. Dieu s'est accommodé à notre manière de s'exprimer en parlant dans une langue ou dans des langues que les hommes pouvaient comprendre l'hébreu, l'araméen, le grec. Et l'écriture a été consignée dans ces langues afin que, pour toute l'éternité, nous sachions qui il est.
L'écriture est la manière qui nous permet de nous représenter Dieu. Et puis bien sûr, la manifestation de son fils Jésus-Christ, l'incarnation de Dieu, qui est telle que lorsque Jésus sera sur terre, il dira celui qui m'a vu a vu le Père. Il y a en Jésus la manifestation, la révélation, le dévoilement de Dieu. Nous pouvons savoir qui est Dieu, non pas dans son essence complète, mais nous pouvons le connaître en connaissant Jésus-Christ. Alors, ça signifie donc que pour que nous ayons une représentation de Dieu, nous avons l'écriture et la personne de Jésus-Christ.
Et le Saint-Esprit nous est donné pour faire écho à cela. Le Saint-Esprit nous est donné pour glorifier Christ et pour nous rappeler ce que Dieu a dit dans l'écriture, ce que Dieu nous a donné par grâce, pour reprendre les formulations de Corinthiens. Et donc il y a vraiment cet écho extraordinaire, nous sommes capables de connaître et de saisir Dieu. Et je remarque que dans la Bible même, il y a plusieurs dangers de sacraliser un objet, même un objet pédagogique, pédagogique pardon. Et je donnerai deux exemples.
Vous avez l'Ephod que Dieu demande de réaliser. L'Ephod était portée par le grand prêtre, et utilisé notamment pour rendre des jugements et pour consulter Dieu. Mais des siècles plus tard, Gédéon, nous dit Juges huit. Vingt-sept, fait un Éphod qu'il place dans sa ville à Ophra. Et nous lisons, il y devint l'objet des prostitutions de tout Israël.
Il fut un piège pour Gédéon et pour sa famille. De tout Israël. Il fut un piège pour Gédéon et pour sa famille. Bien sûr, Gédéon n'avait pas à faire un tel objet, probablement qu'il voulait manipuler Dieu à sa guise et rendre des jugements selon ce qu'il voulait, tout en utilisant l'autorité en quelque sorte de l'Éphod, et en cela c'était un piège. Quand la Bible parle de prostitution, il faut y voir une forme d'idolâtrie.
Les gens peut-être se prosternaient ou cherchaient à parler à cet objet ou à ce que cet objet parle de manière erronée. Mais on a quelque chose d'encore plus surprenant avec le serpent de bronze. Peut-être que tu connais cette histoire de nombres 21, elle est reprise en Jean chapitre trois, elle est remarquable cette histoire. On voit les Israélites qui sont en pérégrination dans le désert, ils se mettent à se plaindre, on les comprend, on aurait fait la même chose, on est français, il n'y a aucun souci. Nous sommes des gens qui savons nous plaindre.
Et voilà qu'ils se plaignent au point de lever le poing contre Dieu et l'accuser de vraiment leur vouloir du mal. Dieu envoie un jugement par le biais de serpents qui les mordent, le venin est mortel, des gens se mettent à mourir, Moïse intercède, et Dieu leur donne la réponse. La solution, c'est de fabriquer un serpent en bronze, et de l'élever sur un pilier, et tous ceux qui regarderont ce serpent seront sauvés. Alors j'imagine, les gens ont dû réagir de façon très différente, il y a ceux qui s'accablaient sur leur sort en disant non non, je mérite ce jugement, je ne regarderai pas et je vais mourir. D'autres qui sont très rationnels en disant mais c'est n'importe quoi, un venin c'est une protéine, en quoi regarder un serpent en métal, ça va changer la donne.
J'imagine bien tous les gens qui ont dû se dire c'est du grand n'importe quoi, comment est-ce que regarder un serpent peut m'apporter une guérison? Et puis il y en a d'autres qui ont eu la foi dans ce que Dieu a promis, qui ont regardé à ce serpent avec confiance. Jésus va se saisir de cette image pour parler de lui en Jean chapitre 3. Il dira quand le fils de l'homme sera élevé, les hommes seront sauvés en regardant à lui. Enfin, je le dis mal parce que je le dis de mémoire, mais Jean chapitre 3 est à relire, un texte magnifique, mais la grande idée c'est que le serpent, il incarne le mal dont sont victimes les Israélites pour leurs péchés.
Et regarder à ce serpent, c'est comme transférer ce mal sur ce serpent en bronze, ce qui est exactement ce que l'on fait lorsque l'on devient un disciple de Jésus-Christ. On réalise que, à la croix, lorsqu'il est élevé de terre, Jésus incarne notre mal, il devient péché pour nous, il prend le venin qui est mortel dans nos vies, le venin de l'égoïsme, du péché, de l'inviolence, de l'insoumission, de l'insolence, de tout ce qui est contre Dieu, et il meurt en sacrifice pour expier la faute dont nous sommes coupables. Aujourd'hui, il nous suffit de regarder à Jésus pour être sauvés. Nous sommes sauvés par la grâce, par le moyen de la foi. C'est quelque chose de remarquable qui est montré ici en nombre vingt et un alors imaginez vous êtes du temps de nombre vingt et un des tas de gens sont morts à cause du jugement et des tas de gens sont sauvés à cause de ce serpent en bronze le soir vous le prenez et vous le mettez dans votre maison dans votre tente et pendant peut-être une ou deux générations c'est un musée ouais viens voir le le serpent qui a été l'objet d'une intervention de dieu et les gens s'émerveillent de dieu en regardant l'objet Ils n'adorent pas l'objet, ils savent que c'est qu'un serpent en métal.
Mais quelques siècles plus tard, voilà ce que nous lisons en deux rois, chapitre dix-huit, verset quatre. Ézéchias fit disparaître les hauts lieux, des lieux d'adoration idolâtres, brisa les statues, abattu les idoles et mit en pièces le serpent de bronze que Moïse avait fabriqué, car les israélites avaient alors, avaient jusqu'alors brûlé des parfums devant lui, on l'appelait Nehushtan. Alors, c'est intéressant que l'objet de la délivrance devienne un objet d'idolâtrie, et il faut donc le détruire au regard des lois de l'Ancien Testament. Et il faut bien réaliser que nous sommes des machines à idoles, et que même les bonnes choses que Dieu donne, y compris ce serpent, nous le transformons en idole. Le danger est bien réel.
Et d'ailleurs, dans l'histoire de l'église, ça a fait l'objet d'un grand débat, d'un débat d'ailleurs meurtrier, parce que les gens à l'époque n'avaient pas toujours la qualité de débattre paisiblement des idées sans s'attaquer aux gens. Mais si tu t'intéresses à ça, tu peux regarder les querelles de l'iconoclasme ou la querelle des images. Et je vais citer ici ce que nous rapporte Jean Urbain Comby dans l'article publié sur l'Encyclopédie Universalis. En 726, l'empereur Léon III détruit une image, une icône, du Christ qui était très vénéré, qui se trouvait au-dessus de la Chalke, la porte de bronze de son palais à Consantisnople. C'est le premier épisode de la crise iconoclaste, d'une politique impériale de destruction des images sacrées, confirmée par un édit de sept-cent-trente, une loi donc de sept-cent-trente.
L'empereur voulait purifier la religion populaire et limiter l'influence des moines qui étaient des grands défenseurs des images. L'iconoclasme atteint son point culminant sous l'empereur Constantin cinq, V, on est là au huitième siècle, des moines subissent le martyre pour défendre les images, l'impératrice Irène ramène le calme en convoquant à Nicée, un concile, le septième œcuménique, qui reconnaît la légitimité de la vénération des images. Alors, il y aurait beaucoup à dire sur cet épisode de l'histoire, qui est l'histoire ancienne, il y a pas mal de détails croustillants et tragiques. Mais il te suffit de googler iconoclasme, qui signifie briser les icônes, Klaus, briser, icône, voilà, les icônes, pour étudier davantage cette période mouvementée de l'histoire de l'église catholique, où cette église a, pendant un temps, été très violemment opposée à la représentation de statues et de représentations, quelconques dans ces structures et de représentation quelconque dans ces structures et dans cette vénération. Aujourd'hui, les locaux d'église protestante se se distinguent souvent par la sobriété architecturale, et c'est en grande partie théologique.
Aucune représentation ne sera utile pour le culte. Jésus dit que le Père cherche des adorateurs qui l'adoreront en esprit et en vérité. La présence du Christ ne passe pas par l'image, ne passe pas par l'architecture qui peut au mieux être pédagogique comme tu l'évoques dans ta question. Christ est présent dans son peuple par l'Esprit qui l'habite. Christ est présent par sa Parole qui est prêchée et crue.
Christ est présent par la scène, l'eucharistie, le pain et le vin, qui rappellent son œuvre et que nous vivons littéralement du sang de Christ et de sa chair. Bien sûr, sans parler de présence réelle, mais de présence néanmoins, parce qu'elle, elle est porteuse de sens. Alors, pour répondre à ta question, à mon sens, la prohibition ne concerne pas des expressions des expressions artistiques représentant le ciel, ou les anges, ou les animaux, ou la nouvelle Jérusalem. La prohibition s'oppose plutôt à modéliser Dieu, et à utiliser ce modèle comme médiation ou intermédiaire, comme objet de culte. Et c'est cela le vrai problème.
Parce qu'en réalité, il n'y a qu'un seul médiateur entre Dieu et les hommes, il représente Dieu de façon parfaite, et il représente les hommes de façon parfaite auprès de Dieu. Et son nom c'est Jésus. Il est vraiment le juriste qui nous permet d'accéder à Dieu et qui permet à Dieu d'accéder aux hommes. Il est le pont, l'échelle, et Jean chapitre 14 le dit de cette façon que votre coeur ne se trouble pas, c'est Jésus qui parle, croyez en Dieu, croyez aussi en moi. Il y a beaucoup de demeures dans la maison de mon père, si ce n'était pas le cas, je vous l'aurais dit, je vais vous préparer une place, et puisque je vais vous préparer une place, je reviendrai, et je vous prendrai avec moi afin que, là où je suis, vous y soyez aussi.
Vous savez où je vais et vous en savez le chemin thomas lui dit seigneur nous ne savons pas où tu vas comment pouvons-nous en savoir le chemin jésus lui dit c'est moi qui suis le chemin la vérité et la vie on ne vient au père qu'en passant par moi Si vous me connaissiez, vous connaitriez aussi mon Père, et dès maintenant, vous le connaissez, et vous l'avez vu. Il y a vraiment dans la personne du Christ cette médiation nécessaire et suffisante. C'est-à-dire que le christianisme n'est pas une série de lois par lequel on accède au ciel. Le christianisme n'est pas une représentation de Dieu, qui est d'ailleurs assez complexe finalement, et en même temps simple pour un enfant, mais assez complexe quand on veut la formuler, et que si on la comprend et si on la représente, alors on a vraiment la proximité avec Dieu. Le christianisme, elle représente les hommes comme nageant dans la boue, et Dieu qui vient les laver.
Et il vient les laver en prenant part à la boue et en l'absorbant lui-même il devient homme et il devient péché pour nous il meurt à la croix en sacrifice pour nos péchés et il nous lave de cela et il nous conduit alors dans le pays d'où il vient, le pays du Père. Il est l'intermédiaire parfait, l'apôtre Paul le dit en Timothée de cette manière: en effet, il y a un seul Dieu et aussi un seul médiateur entre Dieu et les hommes, un homme Jésus-Christ, qui s'est donné lui-même en rançon pour tous. J'espère que c'est ta conviction, que ta confiance est en Christ seule, et que tu n'utilises pas un objet ou une image pour réduire la personne de Christ, la réduire en justement un objet, ou en imaginant que par cet objet Dieu t'entend. Dieu ne t'entend pas par cet objet parce qu'il interdit précisément l'utilisation d'un quelconque intermédiaire en dehors de la personne de Christ, pour accéder à lui. J'espère en cela avoir répondu à ta question.
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