Quelques épitaphes de célèbres chrétiens qui nous font réfléchir

Dans cet article, je vous partage quelques épitaphes de figures historiques de notre héritage spirituel. Je les ai lues ça et là.

Lisez-les ici en Français et méditez-les, puis en fin d’article, je vous partage une idée.

William Carey

William Carey Né le 17 Août 1761, mort le 9 Juin 1834
Un misérable, un pauvre et impuissant ver de terre. En tes bras miséricordieux, je m’abandonne.

John Newton

Employé de bureau,
Autrefois infidèle et libertin,
Esclavagiste en Afrique,
A été,
Par la riche miséricorde de notre Seigneur et Sauveur
JÉSUS CHRIST,
Préservé, restauré, gracié,
_Et nommé pour prêcher la foi q__u’il avait longtemps travaillé à détruire,
_Près de 16 ans à Olney dans le Buckinghamshire,
Et 28 ans dans cette église.

Martin Luther King

Enfin libre. Enfin libre.
Merci mon Dieu Tout-Puissant. Je suis libre enfin.

Charles Spurgeon

Ici repose le corps de Charles Spurgeon
en attendant l’apparition de Son Seigneur et Sauveur Jésus-Christ.

Billy Graham

Prédicateur de l’Évangile de notre Seigneur Jésus-Christ
Jean 14.6:
Jésus lui dit : Moi, je suis le chemin, la vérité et la vie. Nul ne vient au Père que par moi.

Athanase

Athanase contre le monde*

Mon idée

Comme je l’ai déjà écrit, je suis convaincu qu’il est une erreur de ne pas penser à sa mort. C’est même devenu slogan du podcast Memento Mori: parler du présent en prenant la fin comme point de départ.

L’une des bénédictions d’épreuves de santé que j’ai connues ces dernières années fut de penser à ma mort.
Par rapprochement j’ai également pensé à mes obsèques et décidé de transmettre à mes proches le message que je voulais léguer alors que je serai auprès du Père.

Pourquoi ne tenteriez-vous pas l’exercice? Que souhaiteriez-vous que l’on dise de votre assurance ?

J’ai fait des recherches sur le net pour ajouter d’autres épitaphes, mais la tâche est difficile.
Si vous en connaissez, faites-le-moi savoir dans les commentaires.

(*)Il a lutté pour la doctrine trinitaire, « entière et pure », lorsque l’entièreté du monde civilisé semblait s’éloigner du christianisme en faveur de l’Arianisme.