Quel est le souhait qui domine la pensée de Job dans la
première moitié du chapitre ?
A quoi compare-t-il la vie de l'homme ? Dans quelle
mesure cette comparaison est-elle exacte ? Quelles sont
ses limites ?
Quelle issue reste-t-il toujours à celui qui désespère
(notez le changement de forme verbale qui s'effectue entre
le verset 6 et le verset 7) ?
Quelle est la comparaison qu'appelle implicitement le
verset 12 ?
L'expression de votre détresse peut-elle devenir si forte
qu'elle trahisse un manque de foi ?
Pensez-vous que Job désire réellement que Dieu cesse de
poser son regard sur lui ? Dans de telles circonstances,
la situation de l'homme serait-elle moins énigmatique à ses
yeux ?
En quoi Dieu fait-il à Job, au travers de ces épreuves, un
" intolérable compliment " ?
Dans quelle mesure Dieu observe-t-il l'homme ?
Qu'y a-t-il d'incomplet dans la vision qu'a Job ici du
péché et de Dieu ?