Quelles sont les moqueries dont Dieu est ici la cible ? En
quoi les moqueurs nient-ils l'imminence d'un jugement ?
Lorsque ce jugement viendra, qu'est-ce qui les
empêchera de reconsidérer leur parole ou de se repentir
(cf. les métaphores utilisées) ?
Compte-tenu de ce qu'il sait des événements qui attendent
Israël, imaginez quels ont dû être les sentiments d'Esaïe
à la mort d'Ozias (cf. 2 Chron. 26).
Où va-t-il ?
De quelle scène inquiétante se trouve-t-il témoin
contre sa volonté ? Quel appel entend-il ?
Quelle est la vérité redoutable qui s'impose à lui ? A
quelle conclusion le conduit cette pensée terrifiante ?
Si vous aviez été Ésaïe, quelle aurait été votre réaction
face au geste et aux paroles qui nous sont rapportés au
verset 7 ? Pourquoi ?
Réfléchissez à la lourde tâche qui l'attend. A qui est-ce
le tour de se moquer maintenant ? Quelle est la bouche qui
servira à cet usage ? Cette mission est-elle gratifiante ?
Dans quelle mesure pensez-vous que cette brûlure (cf.
6:6-7 et 4:4) soit opportune ? indispensable ? et en ce
qui vous concerne ?